Dettes US : réalité, manipulations de l’opinion publique et complot mondialiste

L’endettement de l’Etat fédéral des États-Unis n’est pas hors de contrôle ni le montant des intérêts. C’est le résultat de manipulations liées à un complot mondialiste mené par certaines entités…

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Le gouvernement des États-Unis publie chaque jour le montant de la dette de l’Etat fédéral qui est effectivement de l’ordre de… 35 000 milliards de dollars,

Document 1 :

Le gouvernement des États-Unis doit payer chaque jour les factures de l’Etat fédéral et rembourser les emprunts arrivés à leur échéance grâce aux ressources apportées par les contribuables, c’est-à-dire leurs impôts.

Pendant deux décennies, les gouvernements des États-Unis ont effectué ces opérations avec une trésorerie qui était de l’ordre de 5 à 10 milliards de dollars.

Cependant, tout a changé à partir de 2008 : la trésorerie du gouvernement a fait des bonds jusqu’à 100 milliards de dollars en fluctuant jusqu’à 400 milliards de dollars.

Pire encore, en 2020, la trésorerie du gouvernement a explosé jusqu’à… 1 817 milliards de dollars !

Document 2 :

Pour quelles raisons les gouvernements des États-Unis ont-ils voulu accumuler une trésorerie qui a été et qui est encore sans aucun rapport avec ses besoins de financement de ses dépenses ?

Aucune réponse sensée n’a été donnée par la Secrétaire au Trésor d’autant plus facilement… qu’aucune question sensée ne lui a été posée !

Document 3 :

La trésorerie de l’Etat fédéral est présentement donc de 752 milliards de dollars, dernier chiffre publié à ce jour.

Par ailleurs, le gouvernement des États-Unis publie chaque semaine le bilan de la Fed qui fait apparaitre… 7 113 milliards de dollars de titres publics constitués de bons du Trésor et d’autres titres qui sont finalement garantis par l’Etat fédéral (des prêts hypothécaires),

Document 4 :

Or, il est évident qu’il n’est pas logique qu’une entité puisse avoir à la fois des créances et des dettes sur elle-même.

Plus précisément, un Etat ne peut pas emprunter et en même temps racheter (une partie de) sa dette. Ces opérations se compensent (doivent s’annuler) de façon à déterminer l’endettement net qui est le seul concept à prendre en considération.

Ces manipulations financières sont en quelque sorte l’inverse de la cavalerie financière (pratiquée par la BCE) qui est une spécialité typiquement française.

Elles ont pour conséquence de générer des frais financiers considérables au détriment des contribuables.

Effectivement, beaucoup d’Américains dénoncent le montant astronomique des intérêts, plus de 1 000 milliards de dollars sur une seule année fiscale, qui devront être payés par l’Etat fédéral, c’est-à-dire par les impôts des contribuables.

Les seules charges d’intérêts correspondent aux trois quarts du total des impôts sur le revenu des Américains dont beaucoup d’entre eux ont déjà des difficultés à vivre normalement, en particulier à cause de l’inflation !

Donc, pour déterminer la dette nette de l’Etat fédéral, il faut retirer de son montant publié, à savoir 35 000 milliards de dollars le total des titres publics détenus par l’Etat fédéral, soit 7 113 milliards de dollars et le montant de la trésorerie du gouvernement fédéral qui est présentement de 752 milliards de dollars.

Soit, 7 113 + 752 = 7 865

Donc, 7 865 milliards de dollars sont à soustraire du total de la dette fédérale de 35 000 milliards de dollars.

Comme le PIB courant annuel des États-Unis était de 28 629 milliards de dollars au premier trimestre 2024, l’endettement réel de l’Etat fédéral est de l’ordre de… 95 % du PIB !

Document 5 :

Un endettement public de l’ordre de 95 % du PIB est certes élevé mais il est loin d’être catastrophique. Il peut même être considéré comme étant normal.

La question qui se pose alors est la suivante : pour quelles raisons le Trésor accumule-t-il les émissions de dettes pour alimenter sa trésorerie à hauteur de 750 milliards de dollars à des taux particulièrement élevés décidés par les dirigeants de la Fed, à savoir sur une base de 5,33 % alors qu’une trésorerie de 10 à 20 milliards de dollars seulement serait possible en considération de ce qu’elle a été de 1986 à 2008 ?

Une réponse logique s’impose : les dirigeants du Trésor, et principalement Janet Yellen, cherchent à appauvrir davantage les Américains, surtout ceux qui ont des ressources faibles !

Cette politique fiscale s’inscrit dans le cadre de la politique de déstructuration de l’Amérique voulue par certains de ses dirigeants, Démocrates.

En effet, contrairement à ce qui est pensable, les hommes politiques dirigeant le parti Démocrate ont cherché à accentuer les problèmes économiques et sociaux des Américains.

Ainsi par exemple, Barak Obama est intervenu pour faciliter la consommation d’opiacés qui a des conséquences catastrophiques sur la santé de millions d’Américains, Joe Biden a laissé entrer illégalement et sans aucun contrôle des millions d’immigrés Sud-américains et il alimente des guerres meurtrières hors des États-Unis.

Ces politiques menées par ces dirigeants américains s’inscrivent dans un cadre plus large, international, lié (entre autres) aux objectifs d’une secte connue sous la dénomination de Loubavitch.

Pierre Hillard fournit à ce sujet des informations parfaitement bien documentées (justifiées).

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Remarque : en ne tenant pas compte des titres adossés sur des prêts hypothécaires et donc des seuls bons du Trésor qui sont de 4 423,55 milliards de dollars, le ratio d’endettement de l’Etat fédéral est de 104 %, ce qui n’est pas un surendettement insurmontable !

Pour information, notre ami Fred de Saint Louis montre clairement que l’endettement des États-Unis a commencé à progresser au-dessus de sa tendance longue à partir du premier trimestre 2008.

Document 6 :

©Chevallier.biz

4 réflexions sur “Dettes US : réalité, manipulations de l’opinion publique et complot mondialiste”

  1. Les Loubavitch pratiquent certes un activisme, mais n’est-ce pas là leur prêter plus de pouvoir qu’ils n’en ont réellement – explication par trop monocausale en somme pour le monde complexe dans lequel nous vivons – que de penser qu’ils tirent vraiment tous les fils, du moins qu’ils en tirent suffisamment pour tant parvenir à orienter le cours des choses? Je reste sceptique.

  2. On peut toutefois faire remarquer que l’autonomisation de la sphère financière (à partir de 1985-1987) par rapport à la sphère réelle et l’imposition concomitante de toutes les mesures scélérates visant à satisfaire aux besoins de la première au détriment des besoins de la seconde, première qui donne désormais le La à la seconde, sont les raisons centrales pour lesquelles l’Occident se trouve aujourd’hui dans une telle impasse, et une simple vérification factuelle de l’ascendance de Greenspan, Bernanke et Yellen (sur lesquels vous écriviez d’ailleurs beaucoup de bien il y a quelques années) conduit à Sion.

  3. Bonjour jean pierre

    Merci pour tes chroniques.
    Les loubavitch sont à la tête de la russie.
    C’est une autre secte juive qui dirigent obama,powell c’est une bande qui veut le rôle de numéro 1 sur le monde.
    Contrairement à la russie qui se contente de spoiler son peuple de son côté.

    Pour le pib de 95% dette etc..
    Je pense que peut importe les chiffres on peut conclure que l’objectif final de la secte juive est de controler les pays comme le japon avec des effet boom taux dinterets nul puis crise pour prendre le controle des pays un par un .
    Etes vous daccord?

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