À propos

Jean-Pierre Chevallier se présente en tant que business économiste, monétariste, behavioriste, contrarian et analyste financier indépendant… ce qui nécessite quelques explications…

Aux États-Unis, les business economists sont nombreux et depuis longtemps car toutes les personnes qui travaillent dans le secteur de la finance ont besoin de leurs travaux.

En effet, à partir de leurs analyses portant sur les résultats des entreprises, ils en déduisent leur bonne ou mauvaise santé, ce qui est indispensable pour les dirigeants de ces entreprises et les investisseurs.

Ainsi à partir de leurs travaux de base, il est possible d’en déduire la bonne ou la mauvaise santé de l’ensemble des entreprises américaines, ce qui est utile et même indispensable pour tout le monde…

Ainsi informés, les dirigeants des entreprises savent s’ils doivent investir, ou pas, et dans quelle direction, ce qui conditionne l’offre. Les salariés et par conséquent les ménages savent eux-aussi si leur situation financière va s’améliorer ou se détériorer dans l’avenir prévisible, ce qui conditionne la demande finale.

Le comportement des consommateurs est le moteur principal de l’activité économique, ce qui est l’objet même du behaviorisme.

Cette information économique et financière de base doit être complétée par l’analyse des agrégats monétaires car plus que jamais, l’argent sain est le premier pilier des Reaganomics comme l’a dit fort judicieusement Arthur Laffer.

En effet, il est indispensable, impératif et même vital que tout le monde ait toujours confiance en la monnaie, c’est-à-dire l’argent que tout le monde utilise tout le temps, sinon tout s’écroule.

La quantité de monnaie en circulation dans toute nation doit être légitime, c’est-à-dire basée sur la création de richesse.

Dès lors, toute création monétaire indue, ex nihilo a toujours de très graves conséquences, l’exemple de l’Allemagne de l’après Première guerre mondiale en est malheureusement un bon exemple.

Rares sont les gens, y compris les économistes et les professionnels de la finance qui comprennent ces problèmes monétaristes qui sont pourtant fondamentaux. Seuls les Reaganomics qui sont au pouvoir aux États-Unis les maitrisent, ce qui fait la réussite et la force de l’Amérique et c’est ce qui lui permet de garder son leadership sur le monde libre.

Jean-Pierre Chevallier développe dans ses articles tous ces thèmes que personne d’autre ne publie. Il est donc amené à prendre des positions contraires à la plupart des journaleux et autres bonimenteurs qui s’expriment dans les médias. Il est donc généralement contrarian.

Economiste de formation universitaire en France, ce qui n’est pas une référence, Jean-Pierre Chevallier a été professeur dans des universités françaises, ce qui n’est là non plus pas une référence, mais il a toujours fait l’unanimité contre lui d’après les dires de ses collègues, ce qui est par contre une référence !

Enfin débarrassé de ses obligations professionnelles, il a pu approfondir librement ses travaux depuis une bonne douzaine d’années.

Le monétarisme est simple. Tout est simple disait Milton Friedman qui ne comprenait pas pourquoi tant de gens ne comprenaient pas cette théorie.

Le monétarisme est un corps vivant, un tout insécable fait d’interactions toujours en mouvement. Cette théorie n’a pas un début ni une suite logique immuable et intemporelle comme d’autres (celle de Keynes par exemple) ce qui fait qu’il est difficile de l’expliquer dans un seul ouvrage à un moment donné.

Le monétarisme se comprend au fil du temps.

Les articles de ce site permettent de comprendre ce qui se passe dans le monde actuel dans lequel l’argent, les monnaies et le monde de la finance ont une importance de plus en plus grande.

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Economista.

Num de resolucio: 249467/2019 Govern d’Andorra

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Pour aller toujours plus haut, après des passages vertigineux et délicats...… sortir en toute sécurité…

… vers des sommets toujours plus hauts…

… en toute tranquillité.

Tout est simple !

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Un grand MERCI au photographe qui n’a pas pu prendre les passages les plus exposés car une chute verticale… de l’appareil photo lui aurait laissé peu de chances de nous donner de telles photos prises juste avant Noël 2018 !