BCE : Banksters du Clan Européen, bilan au 24 décembre

Ça y est : le Père Noël a déposé ses beaux cadeaux au soir du vendredi 24 décembre dans les souliers de la BCE, près de la cheminée : 593 beaux milliards d’euros sous la forme d’encore plus beaux dollars (USD) provenant (pour les grandes personnes) de généreux et mystérieux non-résidents qui ne peuvent être que des musulmans dirigeants de pays riches producteurs d’hydrocarbures !

Cette information se trouve dans la rubrique 6 du passif de la BCE publié ce 28 décembre à 15 heures,

Document 1 :

593 milliards d’euros, c’est de loin le plus gros apport de ces pays musulmans à la BCE après les 532 milliards de la semaine précédente, loin des 431 milliards de la fin 2021 !

La hausse de ces apports depuis fin novembre (ils n’étaient alors qu’à 400 milliards d’euros !) est vertigineuse et historique,

Document 2 :

Je suis, à ma connaissance le seul à décrypter correctement les aventures des banksters de la zone (euro) à partir des données fiables qui se trouvent dans les bilans et dans d’autres documents publiés par les banques centrales…

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Les banksters de la BCE ne peuvent même plus financer l’argent qu’ils apportent et qu’ils prêtent à leurs homologues des banques dites commerciales par des opérations de pure cavalerie financière : ils sont obligés de faire appel aux apports de ces non-résidents !

En effet, les banksters de la BCE ont racheté pour 4 897 milliards d’euros de titres (Securities) à leurs homologues des banques privées (contre 4 886 milliards la semaine précédente) et ils leur ont prêté (Lending…) 2 230 milliards, le tout par pure création monétaire, pour qu’ils puissent ne pas faire faillite tout de suite !

Document 3 :

Le plus étonnant est que personne, à part moi, du moins à ma connaissance, et quelques rares personnes anonymes, ne se pose la question pourtant essentielle : avec quel argent les banksters de la BCE financent-ils ces dépenses, à savoir les achats de ces titres aux banques commerciales et ces prêts portant en tout sur 7 127 milliards d’euros ?

La réponse se trouve au passif de la BCE :  les banksters de la BCE ont financé ces dépenses par le dépôt en retour d’une partie de cet argent par les banksters des banques commerciales à la BCE (donc par des opérations de cavalerie financière) pour 4 440 milliards d’euros (ce qui constitue des dettes, Liabilities, pour la BCE, rubrique 2 du document 1, et 4 643 milliards la semaine précédente) et par la mise en circulation de billets (Banknotes) pour 1 543 milliards (rubrique 1 du document 1), soit un total de 5 983 milliards contre 6 039 milliards la semaine précédente et 6 129 milliards le 10 décembre !

Document 4 :

Les banksters des banques commerciales avaient pu déposer le 10 décembre 4 601 milliards d’euros mais, à court de liquidités, ils n’ont pu redéposer à la BCE que 4 505 milliards au 17 décembre et seulement 4 440 le 24 décembre !

Comme les besoins de financement (7 127 milliards d’euros) sont supérieurs aux moyens de ces financements (5 983 milliards), un premier petit trou apparait dans le bilan de la BCE pour un total de 1 144 milliards d’euros contre 1 089 milliards d’euros la semaine précédente et… 989 milliards le 10 décembre alors que le plus haut record historique précédent a été de 1 017 milliards le 26 novembre,

Document 5 :

Ce petit trou s’est considérablement aggravé à cause des décisions prises par les hommes politiques sous le prétexte de cette histoire de coronavirus !

Document 6 :

Compte tenu d’autres éléments, ce premier petit trou est en fait un grand trou de… 1 344 milliards d’euros nouveau plus haut record historique contre 1 292 milliards la semaine précédente et 1 194 milliards le 10 décembre, le plus haut record historique précédent étant de 1 231 le 26 novembre !

Document 7 :

Ce grand trou est comblé par les apports des gouvernements des pays membres de la zone et par ces mystérieux et anonymes non-résidents qui ne peuvent être que des musulmans dirigeant des pays riches exportateurs d’hydrocarbures,

Document 8 :

Jusqu’à présent, ces records ne se produisaient qu’à la fin de certains trimestres et en fin d’années, ce qui n’est pas le cas présentement. La dernière semaine de l’année 2021 sera vraiment très difficile pour les banksters de la zone (il reste encore un bilan à clôturer en 2021 : le vendredi 31) !

Le total du bilan de la BCE continue d’exploser en attendant l’éclatement de cette gigantesque bulle monétaire, ce qui fera très mal aux malheureux Euro-zonards !

Document 9 :

Ça ne peut pas durer longtemps comme ça !

Ça va péter !

Cliquer ici pour lire mon article précédent sur le bilan de la BCE au 17 décembre.

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