BNP-Paribas en Amérique
Lorsque ce bon vieux Greenspan présidait la Fed, il replaçait toujours les problèmes monétaires posés à la Fed dans un cadre théorique libéral très… libéral (au sens français) voire libertarien pour justifier ses décisions d’intervenir a minima. Ainsi par exemple, il aurait laissé faire les marchés après avoir obligé les banksters à respecter sa règle de gestion prudentielle, à savoir que les dettes des banques ne doivent pas dépasser 10 fois le montant de leurs véritables capitaux propres. Et c’est ce qui se passe effectivement depuis une dizaine d’années naturellement et spontanément aux États-Unis : les réglementations voulues et obtenues par les antilibéraux avec les règles de cet idiot de Volcker ne font qu’augmenter les coûts et les complications juridiques des ...