Les données partielles fournies par la Banque de France ne permettent pas de faire une analyse monétariste fiable, cliquer ici pour lire mon article précédent à ce sujet.
Seuls les chiffres de la masse monétaire M3 sont disponibles pour le mois de septembre. Ils montrent que M3 baisse de 1,3 % d’une année sur l’autre, sans que l’on puisse en connaitre les raisons exactes,
Document 1 :
La cause en est vraisemblablement un effondrement de la trésorerie des entreprises, cf. mon article précédent à ce sujet, malgré les centaines de milliards d’euros prêtés quasiment gratuitement par la Banque de France aux banques.
Cette baisse de M3 (en France) est très différente de l’augmentation de cet agrégat de 1,5 % d’une année sur l’autre pour l’ensemble de la zone euro,
Document 2 :
La situation de la France peut être pire que celle que l’on constate par ailleurs, en particulier à cause du leverage hors normes de nos Gos banques.
Pour l’instant, tout va bien, comme toujours avant un tsunami.
Dimanche 27 octobre 2013 :
En Europe, les Etats sont hyper-endettés.
En Europe, les ménages sont hyper-endettés.
En Europe, les entreprises sont hyper-endettées.
Et en Europe, les banques sont en faillite.
Lisez cet article :
La crise négligée de l’Europe : les ménages et les entreprises croulent sous les dettes.
Lorsque Mario Draghi, le président de la Banque Centrale Européenne (BCE), a affirmé que la BCE « ferait tout ce qu’il faudrait pour sauver l’euro » pour apaiser les marchés financiers en juillet 2012, il a transformé la crise de l’euro qui était alors aigüe en une crise chronique.
Cette semaine, le patron de la BCE a provoqué un second tournant en indiquant que les 128 plus grandes banques européennes subiront un stress-test l’année prochaine afin de déterminer quelles étaient celles qui étaient viables, celles qui étaient à recapitaliser, et celles qu’il faudrait liquider.
Les politiciens européens ont toujours été réticents à examiner les bilans des banques, redoutant de devoir se poser des questions sur les grandes quantités d’obligations souveraines qu’elles ont acquises au cours des dernières années. Cependant, ils négligent souvent que ce ne sont pas les actifs les plus toxiques de leurs bilans, mais que ce sont souvent les prêts aux ménages et aux entreprises défaillants qui posent problème.
D’après The Economist, la crise de l’euro n’est d’ailleurs pas tant une crise de dette souveraine, qu’une crise de dette privée. En Grèce, tout a commencé avec les dépenses excessives du gouvernement et les emprunts exagérés qu’elles ont impliqués, mais dans la plupart des autres pays en difficulté, l’éclatement de la bulle a fait suite à un endettement excessif du secteur privé : emprunts hypothécaires en Irlande, prêts aux entreprises au Portugal, et une combinaison des deux en Espagne. Dans ces 3 pays, l’endettement du secteur privé avait déjà largement dépassé les 200% du PIB avant la crise, bien plus qu’aux Etats-Unis ou au Royaume Uni, où il atteignait respectivement 175% et 205% du PIB.
Les Etats-Unis ont réussi à réduire des deux tiers l’endettement des familles américaines, mais en Europe, 3 obstacles empêchent un tel désendettement :
http://www.express.be/business/fr/economy/la-crise-negligee-de-leurope-les-mnages-et-les-entreprises-croulent-sous-les-dettes/197686.htm
Wanted serious partners to open factory in dollar zone to built modular houses without foundation , all wood , traditionnal look , tiles , all dismantled for sale in Europe at price 40% cheaper.
@ bertrand : what it that doing here ? :/
@ homer………..Ben fasse aux nuls on fait ce qu’il faut….on se casse………en plus on fait fortune et ceux qui restent sont morts….tchao……..allez tous produire en zone dollar.