Oui, on a volé l’or de la France !

Oui, on a volé l’or de la France, et pas qu’un peu : 2 433 tonnes d’or fin !
D’après les derniers chiffres publiés par la Banque de France,

Document 1 :

Les voleurs ne sont pas des gangsters armés de mitraillettes après avoir creusé un tunnel pour dévaliser les coffres de la Banque de France.

Les voleurs sont les membres de la nomenklatura euro-zonarde, et plus actuellement les Marioles de la BCE qui avouent leur forfait en publiant leur bilan qui fait apparaitre l’or des banques centrales de la zone à la première rubrique de l’actif (depuis des années !) ce qui signifie qu’ils sont… les légitimes propriétaires (en droit) de l’or des banques centrales de la zone, donc de l’or de la France, des Français,

Document 2 :

Cet or appartenait jadis à chaque nation, en France, à la France, c’est-à-dire collectivement aux Français.
L’entité qui regroupe leurs avoirs est l’Etat dont les intérêts sont gérés par le gouvernement.

Pour des raisons historiques, l’Etat a confié la garde de cet or à la Banque de France qui est comme son nom l’indique, une banque, l’Etat (français) étant un de ses (principaux) clients.

Comme tous les clients des banques, tout Etat peut donc déposer son or dans les coffres d’une banque (centrale ou pas), et c’est ce que font la plupart des Etats.
Ils restent évidemment propriétaire de leur or, déposé dans des coffres (ou des salles fortes) en payant ce service (une location).
La banque qui garde cet or n’en est bien entendu pas propriétaire (tout comme les particuliers qui déposent de l’or dans leur coffre dans une banque).

Ce sont là des évidences.
Ainsi par exemple, la banque centrale du Canada garde l’or du Canada (des Canadiens) et il en est de même pour la Bank of England sans le comptabiliser dans leurs actifs).
Aux Etats-Unis, l’or national est conservé à Fort Knox, une base militaire, et il n’est comptabilisé pour des raisons historiques qu’à hauteur de 11,037 milliards de dollars en tant que Gold certificate account à l’actif de la Fed, sans aucun lien avec la valeur du stock d’or national.

La BCE est donc la seule grande banque centrale qui ait osé faire un hold-up monumental sur l’or des pays de son ressort.

Aucun membre de la nomenklatura euro-zonarde n’a été poursuivi.
Seuls quelques rares énergumènes dénoncent ce crime dans l’indifférence totale des victimes que sont les malheureux Euro-zonards.

Le sujet pouvait n’être que théorique (ou purement juridique) au cours des années passées, mais la dégradation du bilan de la BCE montre qu’il s’agissait là de la part de la nomenklatura de tromperies et de manipulations savamment orchestrées dans le but de faire main basse à l’avenir sur ce trésor pour financer les gigantesques pertes prévisibles.

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En France, c’est Jean-Claude Le Tricheur qui a officialisé avec notre Bécassine adorée (Christine Lagarde pour mes nouveaux lecteurs, alors ministre de l’économie et des finances) le transfert illégal de la propriété de l’or de la France à la Banque de France.

Par ailleurs, c’est notre histrion ignare (Sarkozy) qui a été le seul, en tant que ministre de l’économie, à vendre une partie importante de l’or national (un peu moins de 600 tonnes) de 2005 à 2009… avant la forte remontée du cours de l’or !

Document 3 :

Ordinairement, c’est-à-dire depuis 1971, les gouvernements des grands pays développés gèrent passivement l’or national acquis précédemment pour des raisons historiques.
On ne vend pas les bijoux de famille !

Or (!), la zone euro n’est pas une famille mais un repaire de banksters sans foi ni loi, du moins de banksters qui font leur loi.
Ça finira mal.

Suite de ces problèmes prochainement…

Cliquer ici pour lire un des articles que j’ai écrit en 2014 à ce sujet.
Cliquer ici pour lire l’article confirmant que la Banque de France et son gouverneur ont été jugés nuls par la 17° Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris.
La Banque de France et son gouverneur m’avaient alors attaqué par citation directe pour diffamation alors que je dénonçais déjà leurs agissements condamnables.
Ils ont eu tort. J’avais et j’ai toujours raison contre eux.