A propos de ma collaboration avec Agora…

Je collabore maintenant avec Agora Publications qui est l’antenne française d’Agora Financial qui, aux Etats-Unis, fournit des commentaires, des analyses et des formations économiques indépendantes par le biais de publications imprimées et en ligne, de vidéos, de séminaires en ligne, de conférences téléphoniques, etc.

Document 1 :

Agora Publications France regroupe un certain nombre d’économistes et de spécialistes en matière financière présentés sur la page Nos experts du site, dont par exemple Olivier Delamarche et Philippe Béchade,

Document 2 :

Mes interventions sont accessibles à partir du pavé me concernant sur la page Solutions d’investissement

Document 3 :

… où se trouve l’accès à une présentation de mes prestations et à l’abonnement de ma Stratégie,

Document 4 :

Agora Publications France fait en ce moment une offre de lancement (concernant mes prestations) particulièrement avantageuse mais limitée dans le temps,

Document 5 :

Les tarifs et prestations proposées sur mon site et sur Agora Publications France (lettre mensuelle, email hebdomadaire, etc.) sont en concordance.

Cliquer ici pour accéder au site d’Agora Financial des Etats-Unis.

Cliquer ici pour accéder au site d’Agora Publications France.

Cliquer ici pour accéder au site d’Agora Publications France proposant l’offre de lancement de mes prestations.

 

26 réflexions sur “A propos de ma collaboration avec Agora…”

  1. Bonsoir. On peut voir énorment de vidéos sur le net de Bechade et Delamarche. Ces 2 intervenants prédisent la fin du monde depuis des années, ils ont un timing plus que défaillant. Je n arrive pas à aller au bout d un interwiev de Delamarche tellement il s exprime avec difficulté. J ai bien aimé votre interwiev sur TL. J aimais bien votre indépendance mais si c est votre choix.

    1. Tout à fait d’accord. Agora se trompe sur tout les fronts depuis 10 ans. Achetez TFT Achetez le Gold, vendez les actions. Ils ont fait perdre de l’argent à pas mal de monde.

  2. Bonjour Monsieur CHEVALLIER,
    Avec cette offre aurons-nous bien accès à toutes les analyses publiées sur ce site ?
    Merci pour votre réponse.
    Cordialement,

    1. Non ! je publie / Agora 1 lettre mensuelle de 8 pages + 1 email hebdomadaire d’1 à 2 pages, ce qui est très loin de ce que je publie sur mon site !
      Dans ces conditions, il est donc difficile de comprendre les sujets que je traite ici…

  3. Hors sujet.
    J ‘ai plutôt l’impression pour l’analyse du yeald us 10 year- 2 year que beaucoup suivait à tort comme le facteur de la chute de l’Euro que ce yeald est en train de remonter comme en 2008 présageant une imminence du crash de l’ Euro.
    D’aucun aurait voulu qu’il descende plus bas pour marquer cette chute annoncée mais apparemment cette chute est déjà actée même si elle ne descend pas en dessus du 0. … c’est pourquoi sa chute est finie(?)
    Elle semble due intrinsèquement à sa caractéristique propre. (différente de celle du 10Y-3 Months.)

    Comme la situation et la crise de l’euro est bien plus critique actuellement , ce yeald n’aura pas besoin de terminer plus bas étant donné que les écarts n’ont plus besoin d’être aussi extrême qu’en 2008. Je veux dire que le seuil critique est atteint et que la tangente en projection de 2007/08 à 2019 est convergente dans un espace plus restreint .
    Les 2,5% de hausse de la FEd risque de rester à ce niveau d’où le conflit Powell /Trump sur la hausse des taux et, la progression vers le plus haut semble atteinte.
    j’espère que mon explication n’est pas trop confuse car je ne suis pas expert mais, peut-être n’ai-je pas tort.

  4. Moi aussi j’ai perdu beaucoup d’argent en suivant les bons conseils d’Agora:
    Plus de 25 000 euros !
    leur abonnement sur les technos (new tech insider) qui m’ont fait dilapider mes économies dans les laboratoires américains … leur abonnement avec un soit disant génie du Forex (tout perdu), leur abonnement spécial S.W. en achetant des mines d’or qui affichent toujours près de 100% de pertes.
    J’oubliais leur recommandation d’ouvrir un compte chez I.B.
    Tant mieux si M. Chevallier remonte leur niveau en participant à leur publications à condition qu’ils ne se servent pas du nom de M. Chevallier pour vendre des conseils d’investissement chaotiques par ailleurs (leur autres autres publications).

  5. Bonsoir Monsieur CHEVALLIER , un ancien de votre blog, ( c’est vrai pas toujours sur la même voie d’onde ) mais pensez-vous un jour que les taux négatif arrive au usa

  6. Bonsoir Monsieur CHEVALLIER , un ancien de votre blog, ( c’est vrai pas toujours sur la même voie d’onde ) mais pensez-vous un jour que les taux négatif arrive au usa

  7. J’ai suivi la stratégie de Simone pendant quelques années, mon portefeuille en garde un souvenir plutôt amer (que des placements perdants). Je suivais également celle de Philippe (la lettre Pit bull) mais il l’a arrêtée rapidement faute d’abonnés.

  8. Dans votre article « Les dominos des grands banksters européens sont sur le point de tomber ! », vous écrivez « Les grands banksters européens forment un pack qui est au bord du gouffre. Leur leader, c’est-à-dire le plusse pire de ces banksters est Deutsche Bank dont les dirigeants viennent de reconnaitre qu’une partie significative de ses produits dérivés (dont les engagements notionnels se montent à… 43 000 milliards d’euros) est susceptible de générer à leurs échéances des pertes qui ne peuvent être que considérables, donc létales. ».

    Or, vous avez, jusqu’ici, toujours écrit que les produits dérivés (et leurs engagements notionnels) ne constituaient pas un problème.

    1. …. tant qu’on ne les remet pas sur la table (le sac de course pourri), or la DB est arrivé en bout de course, et là on ouvre le sac and that is the end… pardon das is groSSe probleme.

    2. J’ai déjà répondu à cette question :
      Les produits dérivés ne sont pas un risque majeur… quand ils sont bien négociés, ce qui doit être le cas normalement dans les banques normales
      Par contre, en cas de mauvaise gestion de ces produits dérivés, c’est la cata !
      Et les dirigeants de Deutsche Dk reconnaissent qu’ils s’attendent à de grosses pertes sur ces produits dérivés, et là c’est grave… mais bénéfique pour ceux qui vont engranger les profits correspondant aux pertes de DB !

      1. Avec des « si », on mettrait Paris en bouteille !
        En outre, au plus le volume de produits dérivés est important, au plus le risque de « mauvaise gestion » augmente.

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