Le Donald, la Chine, les banksters européens et les Américains
Le Donald joue avec le feu en accentuant plus ou moins la pression sur les taxations des importations de produits chinois sans prendre de décisions définitives, ce qui fait peur aux consommateurs américains (des États-Unis). En conséquence, ils épargnent davantage et ils dépensent donc relativement moins (qu’ils le feraient en pareilles circonstances sans les menaces du Donald), ce qui confirme mes analyses sur l’évolution des taux. En effet, l’épargne des Américains a atteint encore un nouveau sommet historique à 11 317,5 milliards de dollars lors de la semaine finissant le 11 novembre, Document 1 : Normalement, le taux d’épargne des ménages américains devrait se situer aux alentours de 40 % du PIB annuel courant des États-Unis, or il est actuellement de 52,6 ...