Un certain désordre qui régnait en Italie s’estompe. Les Italiens travaillent, normalement et autrement, et très souvent avec réussite, avec un gouvernement et des services publics au minimum.
Le résultat est que l’écart entre les rendements des bons à 10 ans des Trésors de ces deux pays diminue pour atteindre, à la fin de cette première semaine du mois de juin, un minimum depuis 2007,
Document 1 :
L’écart entre les rendements des bons à 10 ans du trésor de l’Italie et celui de la France est revenu à ce qu’il était avant le début des grandes turbulences de 2007,
Document 2 :
Depuis le début de l’année 2024, les capitaux sont entrants sur le 10 ans italien et sortants sur ceux du Bund et de l’OAT française,
Document 3 :
Vue d’ensemble de l’évolution des rendements de ces bons de Trésors depuis le début des turbulences financières de 2007,
Document 4 :
Le relatif désordre italien apparent cache en fait la réussite de cette multitude d’entreprises italiennes très performantes avec un Etat relativement faible donc suffisant pour assurer un certain ordre, ce qui n’est plus le cas de la France qui croule sous un Etat hypertrophié avec des services publics inefficaces et couteux…
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