Standard Chartered 2012

Standard Chartered fait partie maintenant de la liste des banques mondiales à risques systémiques (SIMIs). C’est une banque régulée par la Bank Of England mais ses activités sont pour l’essentiel mondiales.

Le multiple d’endettement, le leverage, de Standard Chartered est l’un des meilleurs de cette liste de grandes banques : 15,4 correspondant à un ratio Tier 1 réel de 6,5 % mais c’est assez loin des normes préconisées par ce bon vieux Greenspan,

Document 1 :

Standard Chartered2011 Q22011 Q42012 Q22012 Q4
1 Assets599,07592,686624,431636,518
2 Equity40,71441,37542,93446,055
3 Preferred st----
4 Goodwill7,0617,0617,0677,312
5 Tangible eq33,65334,31435,86738,743
6 Liabilities565,417558,372588,564597,775
7 Leverage (µ)16,816,316,415,4
8 Tier 1 (%)66,16,16,5

Sommes en milliards de dollars (US$).

Document 2 :

Cette banque a la particularité, comme BNP, de ne pas publier de comptes trimestriels mais uniquement semestriels, ce qui n’est pas normal.

Document 3 :

Cliquer ici pour voir le dernier rapport financier de Standard Chartered.
Cliquer ici pour accéder à la page des relations investisseurs du site de la banque.

1 réflexion sur “Standard Chartered 2012”

  1. Vendredi 8 mars 2013 :

    Allemagne : un allié de Merkel évoque une sortie de l’Italie de la zone euro.

    L’un des principaux dirigeants des libéraux allemands, partenaires de gouvernement d’Angela Merkel, a déclaré jeudi soir que l’Italie devait choisir entre un abandon de l’euro ou la poursuite d’une cure d’austérité drastique.

    Les élections législatives des 24 et 25 février en Italie n’ont pas dégagé de majorité en raison notamment de la percée du « Mouvement 5 Etoiles » de Beppe Grillo, virulent détracteur de la politique de rigueur mise en oeuvre depuis novembre 2011, à l’incitation de ses partenaires européens, par Mario Monti. Ce dernier a en revanche essuyé un échec électoral.

    « La décision de s’ajuster à la monnaie unique est une décision que l’Italie doit prendre pour elle-même, ce n’est pas à nous de la prendre. Si l’Italie ne veut pas le faire, elle doit en tirer les conséquences », a déclaré Rainer Brüderle, chef du groupe parlementaire du Parti libéral (FDP) au Bundestag, à l’antenne de la ZDF.

    http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL6N0C083P20130308

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