Criminels de guerre et des millions de bénéfices en bourses !

Un certain nombre de personnes connaissant bien le Proche-Orient affirment que ce sont les Israéliens proches de Netanyahou qui ont imaginé, organisé et réalisé cette opération attribuée au Hamas le 7 octobre depuis la Bande de Gaza, sans toutefois fournir de preuves convaincantes de cette attaque sous faux drapeau (false flag).

Or, une étude particulièrement bien documentée et donc totalement fiable émanant d’universitaires des États-Unis montre qu’un grand nombre d’opérations boursières ont été réalisées quelques jours avant le 7 octobre de façon à dégager des millions de dollars de bénéfices tirées de l’anticipation de la baisse de titres israéliens cotés à Tel Aviv et à New York.

Cette étude est donc bien la preuve que ce sont les criminels de guerre au pouvoir en Israël qui ont lancé cette opération génocidaire à Gaza et qu’ils en ont profité pour gagner quelques millions de dollars supplémentaires au passage.

Il n’y a donc pas de limites à l’ignominie (et ce mot est trop faible) de ces gens-là !

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Abstract

Recent scholarship shows that informed traders increasingly disguise trades in economically linked securities such as exchange-traded funds (ETFs). Linking that work to longstanding literature on financial markets’ reactions to military conflict, we document a significant spike in short selling in the principal Israeli-company ETF days before the October 7 Hamas attack. The short selling that day far exceeded the short selling that occurred during numerous other periods of crisis, including the recession following the financial crisis, the 2014 Israel-Gaza war, and the COVID-19 pandemic. Similarly, we identify increases in short selling before the attack in dozens of Israeli companies traded in Tel Aviv. For one Israeli company alone, 4.43 million new shares sold short over the September 14 to October 5 period yielded profits (or approximates avoided losses) of millions on that additional short selling for one out of hundreds of securities traded on the TASE. Although we see no aggregate increase in shorting of Israeli companies on U.S. exchanges, we do identify a sharp and unusual increase, just before the attacks, in trading in risky short-dated options on these companies expiring just after the attacks. We identify similar patterns in the Israeli ETF at times when it was reported that Hamas was planning to execute a similar attack as in October. Our findings suggest that traders informed about the coming attacks profited from these tragic events, and consistent with prior literature we show that trading of this kind occurs in gaps in U.S. and international enforcement of legal prohibitions on informed trading. We contribute to the growing literature on trading related to geopolitical events and offer suggestions for policymakers concerned about profitable trading on the basis of information about coming military conflict.

L’essentiel

Des travaux récents montrent que les traders informés dissimulent de plus en plus leurs transactions dans des titres liés à l’économie, tels que les fonds négociés en bourse (ETF). En reliant ces travaux à la littérature de longue date sur les réactions des marchés financiers aux conflits militaires, nous documentons un pic significatif de ventes à découvert dans le principal ETF d’entreprises israéliennes quelques jours avant l’attaque du Hamas du 7 octobre. Les ventes à découvert effectuées ce jour-là ont largement dépassé celles qui ont eu lieu pendant de nombreuses autres périodes de crise, notamment la récession qui a suivi la crise financière, la guerre Israël-Gaza de 2014 et la pandémie de COVID-19. De même, nous constatons une augmentation des ventes à découvert avant l’attentat dans des dizaines de sociétés israéliennes cotées à Tel-Aviv. Pour une seule société israélienne, 4,43 millions de nouvelles actions vendues à découvert entre le 14 septembre et le 5 octobre ont permis de réaliser des profits (ou d’éviter des pertes approximatives) de plusieurs millions sur cette vente à découvert supplémentaire pour un titre parmi des centaines d’autres négociés sur le TASE. Bien que nous n’observions pas d’augmentation globale des ventes à découvert d’entreprises israéliennes sur les bourses américaines, nous constatons une augmentation brutale et inhabituelle, juste avant les attentats, des échanges d’options risquées à court terme sur ces entreprises, qui arrivent à échéance juste après les attentats. Nous constatons des tendances similaires dans l’ETF israélien à des moments où il a été signalé que le Hamas prévoyait d’exécuter une attaque similaire à celle d’octobre. Nos résultats suggèrent que les traders informés des attaques à venir ont profité de ces événements tragiques et, conformément à la littérature antérieure, nous montrons que ce type de transactions se produit en cas de lacunes dans l’application, aux États-Unis et au niveau international, des interdictions légales relatives aux transactions en connaissance de cause. Nous contribuons à la littérature croissante sur les transactions liées aux événements géopolitiques et proposons des suggestions aux décideurs politiques préoccupés par les transactions rentables sur la base d’informations relatives à un conflit militaire à venir.

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Ces informations ont été publiées initialement par Political Wire.

Cliquer ici pour lire l’article à ce sujet.

Cliquer ici pour lire l’abstract.

Cliquer ici pour lire l’étude (en PDF) Trading on Terror? Robert J. Jackson, Jr.* Nathalie P. Urry Professor of Law New York University Joshua Mitts David J. Greenwald Professor of Law Columbia University

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Une fois de plus, je remercie ma fidèle lectrice qui m’a donné ces informations…

© Chevallier.biz

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