€-crash et le Donald : actualisation, suite…

Encore un petit coup d’œil pour suivre et actualiser les aventures de l’€-crash et du Donald

Hier encore, 13 septembre, le spread 10y-2y est passé sous la barre symbolique des 20 points de base (1/5° de point) à 19,6 avant de remonter par la suite prendre un peu d’air,

Document 1 :

Ce n’est pas le Grand Satan qui manipule les taux ni un grand complot des Zaméricains !

Ce ne sont que des Américains qui veulent défendre les intérêts de l’Amérique, en intervenant marginalement pour retarder l’€-crash de façon à ce que le Donald conserve la majorité au Congrès lors des midterms, les Démocrates étant les pires ennemis de l’Amérique,

Document 2 :

La tendance est bien à la poursuite de la baisse pour atteindre le zéro et les valeurs négatives après les midterms.
Es muß sein!
Festina lente.

12 réflexions sur “€-crash et le Donald : actualisation, suite…”

  1. « les Démocrates étant les pires ennemis de l’Amérique »

    Oui ! Que des socialistes, synonyme de saloperies toxiques, intéressé que par eux et leurs privilèges volés.

    En europe ce sont les pires saletés (Macron & Co ne sont que ça s’étant avancé masqués). Toute leurs stratégies ne sont que voler les gens en train de travailler pour redonner à leurs clientèles avec prélèvements pour eux au passage. Et importer des migrants pour leur donner la nationalité dans un second temps pour agrandir leur clientèle. Car ces toxiques savent qu’ils sont électoralement structurellement minoritaire. Et ça marche car les français sont des abrutis lobotomisés se laissant faire, redonnant tout ce qu’ils gagnent pour nourrir le clergé des toxiques.

    1. @k, merci d’exprimer aussi bien ce qui doit être dit. J’ajouterai que nous devons nous battre pour que nos valeurs, notre culture ne partent pas en fumée avec les bombes et les taxes de nos ennemis. Sur ce adieu !

  2. bon après que faire concrètement?
    nous sommes nombreux a être arrivés au même constat mais comment se battre contre un état?
    le recourt a la violence est inenvisageable face a l’état.
    la voie politique est bouchée car la justice est au service du pouvoir et donc de l’injustice…l’exemple donné avec l’acharnement contre fillon est un avertissement très clair!
    reste la fuite mais encore faut il en avoir les moyens…et puis c’est un peu déserter…au bout d’un moment il n’y aura plus nulle part ou aller si les hommes libres fuient sans cesse. je pense que la nomenklatura socialiste compte la dessus pour consolider son pouvoir.l’exil des bacs +7 et des entrepreneurs qui sont autant de révolutionnaires libéraux potentiels les arrange bien au fond cela permet de les remplacer par des bacs -7 importés qui viendront grossir leur clientèle électorale.

    1. @Loïc, si les fonctionnaires correspondent à 20% de la population active, ils absorbent néanmoins plus que les 80% des pseudo-libres du privé. Si cela n’est pas un motif de révolution…je crois que les fRançais sont des zombies baveux lobotomisés. De là, ce pays est foutu.

  3. @Loic, quelle question ! Que faire quand tout semble perdu ? Je me suis longtemps interrogé sur le comment un tout premier agriculteur pouvait surgir dans un cadre pastoral, en quelque sorte, seul contre tous ?

    Il y a quelques jours encore, j’écrivais : « Peut-on théoriser le discontinu ? Ce serait se donner une force en mesure de bousculer l’ordre établie, la sacro-sainte quiétude de la prairie pastorale si hostile au labour. Comment le tout premier agriculteur a-t-il bien pu s’imposer face à la meute pastorale, celle-ci ne supportant pas les clôtures pourtant indispensable à la protection du blé en herbe, lequel une fois récolté va permettre de faire des réserves et permettre les agglomérations de population, l’urbanisation dont une part de leurs bénéficiaires nostalgiques et oisifs vont tenter de scier la branche sur laquelle ils reposent : la mentalité productiviste d’esprit agricole.

    Dans un monde à la mentalité pastorale, on peut être certain que tout est mis en oeuvre pour éviter une rupture, pour empêcher qu’une pensée contradictoire à ce monde émerge, le tout évidemment soutenu par le féminisme. En effet, pour sortir de l’unité handicapante, neutralisante, la première chose que l’on écarte est dit de nature féminine ainsi que l’exprime le modèle archétypique de base, lequel met en avant, personnalisé, la Vierge et l’Enfant.

    Il s’agit alors non pas de tendre vers l’égalité, mais de mettre en avant une tension, laquelle ne peut-être qu’être traduite par une asymétrie, laquelle écarte ce qui est moyen (zut pour le gender !)… ce qui ne peut que défriser la médiocrité découlant du culte de l’égalité.  »

    Que dire ensuite ? Juste avant, j’avais écrit : « L’effondrement, pour le tenant de la continuité, n’est pas admissible. Ainsi la rage à l’égard de Trump lequel, ayant fait faillite plusieurs fois, incarne le discontinu (discontinu qu’il exprime probablement d’ailleurs même au quotidien, ce qui ne peut être qu’incompréhensible pour l’autre mentalité, la pastorale, celle-ci ayant la haine de tout ce qui est d’esprit agricole, taille, coupe, sépare, retourne…) qui a malgré tout réussit, ce qui dans leur mentalité de fonctionnaires est de l’ordre de l’impensable, la résilience n’étant pour eux qu’une notion étrange. Cette mentalité de fonctionnaire est une mentalité d’état d’esprit fixe, celle-ci enfermant dans la croissance zéro (relire à ce sujet le texte de JPC Le nouveau socialisme du XXIième siécle http://chevallier.over-blog.fr/article-13116383.html, 16 octobre 2007, repris d’un texte de 2002), la satisfaction de vivre dans l’unité, satisfaction communiste du vivre ensemble.

    Heureusement, le monde ne fonctionne pas ainsi, mais procède par rupture-renouvellement, ainsi les saisons, ainsi la liturgie chrétienne de la mort-renaissance, ce qui ne peut être qu’incompréhensible à tout ce monde fonctionnaire. L’Etat français ne peut qu’être en lutte avec ce qui oscille tant la constante du racket taxatoire est leur priorité. Nous avons d’ailleurs un chef de l’Etat, nullement un chef de la Nation, celle-ci étant, depuis belle lurette, passée à la trappe par nos énarques prolongeant ainsi l’EthNArchie romaine, structure d’occupation des peuples.

    Donc d’un coté le discontinu, de l’autre le continu si cher à nos fonctionnaires polluant de leur mentalité la sphère privé devant alors elle aussi se fonctionnariser, ce qui du même coup fait tendre la croissance vers zéro, ce qui tend du même coup à éliminer les surprises (les concrétisations d’innovations bousculant les équilibres en place) pouvant être fatale à l’existence de ces chers ponctionnaires. »

    Et donc, quid du grain de sable ? Après avoir fait dans l’écartement de l’état d’esprit fixe (cf. Carol Dweck), il me semble ensuite impératif de faire dans la « pensée profonde ». On lira donc avec intérêt l’ouvrage de Cal Newport : Deep work : retrouver la concentration dans un monde de distraction ».

    Il me semble en effet, me référant à ma propre expérience, que lorsque l’on fait dans la pensée profonde, à un moment donné, un retournement peut se produire. L’esprit pastoral ne reste, lui, qu’à la surface des choses. ; aucun véritablement retournement ne peut se produire, ce que par ailleurs, il ne désire aucunement.

  4. bonsoir,
    Dixième anniversaire de la faillite de Lehman Brothers, 15 septembre 2008.
    Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
    Le journal Libération, fait une très bonne rétrospective de la crise financière de 2008.
    Point de départ : Janvier 2007, retournement du marché immobilier aux Etats Unis.
    A retiendra le rôle important de Dominique Srauss Khan à la tête du FMI.
    Articles intéressants, que je conseille.
    La crise menace à nouveau .Pour faire repartir la machine, les solutions de 2008 ne pourront
    être recyclées !…le journal s’interroge.

  5. Il est a noté que quand les journaux comme l’aberration, l’mMonde (comprendre la pravda) commence à parler d’un risque de krach de Wall Street, c’est que cela devient inéluctable…et ils ont même déja commencé le narratif « c’est la faute au méchant Trump qui a tout dérégulé la finance et détruit ce qu’avait fait le gentil Obama »

  6. Bonsoir,
    Pour ceux qui n’aurait pas vu le commentaire dans l’article précédent, je remets le lien vers une interview de l’ancien président de la BNS.
    https://www.24heures.ch/economie/sauvetage-ubs-coute-contribuable/story/25790439

    Je trouve cela fort instructif pour 2008, on y apprend (pour la BNS):
    – à quel moment ils se sont réveillés
    – les problèmes qu’ils ont eu…
    – les solutions…
    – la coordination des banques centrales
    – que ça n’a rien coûté aux suisses (même que cela leur a rapporté), mais sur ce point on a l’impression que c’est un coup de chance (ça aurait pu perdre!)
    – que c’est un gars d’UBS qui dirige la FINMA…

    Bref , ça sent la bande de potes à plein nez.

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