ECB: no more bets!

The situation is out of control in the euro zone, as I have been writing it for a while…

The latest ECB press release ended Aug. 12 showed that the interbank market does not work: bank deposits increased by €71 billion in the week to reach €441.5 billion (liability item 2) …!
Document 1:

Euro-zone banks managers have lost confidence in other banks. So they deposit their cash with the ECB rather than lending it to banks that need it as they would in normal times: the ECB lent €548 billion …, an increase of €43 billion in one week (asset item 5)!
Document 2:

Another important point: the ECB has lent €491.9 billion in various securities… (asset item 7)! and purchased junk bonds, particularly PIGS Treasuries bonds who amount to… only €96 billion!
The ECB developed these transactions in press release:
Document 3:

Tyler Durden has rightly noted that ECB had lent $500 million (USD) last August 17 at a bank that might be in default, as last year’s May 6,
Document 4:

ECB monthly bulletin, June 2010, page 38, confirmed what I wrote at the time: 2 or more banks in the euro zone were in default May 6, 2010. This caused a flash-crash in U.S. markets,
Document 5:

Follows,
Document 6:

The swap lines that were concluded and renewed should avoid another crash but not the crisis in the euro zone,
Document 7:

Falling dominoes euro dropouts did not occur because the financial community keeps euro weightless against the dollar, particularly shots of misinformation from S&P confirming that AAA France is totally justified!
It hurts when the Potemkin village-euro zone collapse!

Click here to read the article by Tyler Durden on Zero Hedge which has seen that a bank in the euro area was very ill yesterday, this was reported to me by a reader of my blog whom I thank.

11 réflexions sur “ECB: no more bets!”

  1. Ouiiii…. Rapidement parce que je suis au travail:
    « and PURCHASED junk bonds, particularly PIGS Treasuries bonds FOR AN AMOUNT OF… €96 billion only!
    The ECB REPORTED these transactions in A press release:

  2. Les valeurs bancaires européennes attaquées sur la liquidité;

    Les valeurs financières européennes ont une nouvelle fois dévissé jeudi, laminées par un regain de tensions sur le marché interbancaire et des inquiétudes sur le refinancement à court terme des banques.

    Selon le Wall Street Journal, la Réserve fédérale de New York, la principale branche régionale de la Fed, a accentué ses investigations sur le financement des filiales américaines des banques européennes.

    « Les craintes tournent cette fois-ci autour des liquidités des banques », souligne Alexandre Baradez, analyste de marché chez Saxo Banque, à Paris.

    Les autorités américaines, écrit le Wall Street Journal, redoutent en particulier que les banques européennes, confrontées à des difficultés de financement, ne se mettent à siphonner des fonds à partir de leurs filiales aux Etats-Unis.

    Le président de la Fed de New York, William Dudley, a réagi en assurant que les établissements bancaires, qu’ils soient américains ou étrangers, étaient tous traités de la même manière aux Etats-Unis.

    Les banques étrangères ont réduit leurs émissions de billets de trésorerie américains lors des sept derniers jours, signe de l’anxiété des investisseurs face à la crise de la dette dans la zone euro. Les filiales américaines des banques étrangères ont réduit leur encours de 5,3 milliards de dollars pour le ramener à 152,9 milliards.

    L’indice bancaire européen a terminé la séance en baisse de 6,74 %.

    L’action Société générale, qui avait déjà plongé de près de 15 % le 10 août sur des rumeurs de difficultés financières, a chuté de 12,34 % à 21,60 euros euros. Elle a ainsi perdu 37,81 % depuis le début du mois, portant à 46,3 % sa perte depuis le début de l’année.

    La banque franco-belge Dexia a abandonné 13,96 % à 1,566 euro et l’allemande Commerzbank a perdu 10,42 % à 1,899 euro.

    A Londres, la banque Barclays a clôturé en recul de 11,46 % à 161,87 pence.

    « La BCE a mis à disposition des banques des liquidités afin d’éviter un assèchement des liquidités alors que la situation se tend de plus en plus sur le marché interbancaire », remarque Alexandre Baradez.

    La facilité en dollar de la Banque centrale européenne a été sollicitée mercredi pour la première fois depuis février, signe que le marché monétaire est en état de tension. Une seule banque de la zone euro a emprunté 500 millions de dollars à une semaine au taux d’intérêt fixe de 1,1%, soit bien au-dessus du taux auquel les banques ayant un bon crédit peuvent emprunter sur le marché.

    « COLLATÉRAL REFUSÉ »

    « On a plus de difficultés à avoir des données sur le marché du ‘repo’ (accords de rachats, NDLR) interbancaire, où il y a un problème de collatéral », fait de son côté remarquer un analyste financier basé à Paris.

    « Il y a des actifs qui sont devenus non désirés par les contreparties. Il y a du coup du papier qui n’est plus accepté », poursuit-il.

    Dans ce contexte, les banques françaises sont particulièrement surveillées par les investisseurs dans la mesure où elles sont particulièrement exposées au marché américain du financement à court terme.

    D’après les estimations de Citi, les emprunts à court terme de BNP Paribas s’élèvent à 94 milliards de dollars et à 56 milliards de dollars pour la SocGen.

    « Les banques françaises ont été beaucoup plus touchées que les autres banques européennes. Elles sont plus dépendantes des fonds monétaires américains », relève Christophe Nijdam, analyste chez Alphavalue.

    http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE77H0PV20110818?pageNumber=1&virtualBrandChannel=0

  3. 08h41: «Des banques de certaines régions de la zone euro préfèrent déposer leurs liquidités auprès de la BCE plutôt que de le prêter à d’autres banques. Nous prenons ces signaux au sérieux», déclare l’économiste en chef de la Banque centrale européenne (BCE), Jürgen Stark.

    >> Un signe de plus qui montre que la crise boursière n’est pas dûe entièrement à la crise de la dette, loin de là. Ce sont les craintes sur la solidité des banques et sur l’activité économique qui font chuter les bourses.

    le 19 aout 11 http://www.20minutes.fr/economie/bourse/772300-live-crise-boursiere-direct-krach-rebond

  4. La querelle sur les garanties peut faire capoter le plan d’aide à la Grèce.

    La querelle née de l’obtention par la Finlande, au terme de négociations bilatérales avec Athènes, de garanties pour sa participation au plan de sauvetage de la Grèce risque de remettre en question l’accord dans son ensemble, préviennent vendredi des experts finlandais.

    « La Finlande a dit dès le départ qu’elle ne garantirait pas de prêt sans nantissement, et si cet arrangement n’est plus acceptable par les autres nations, alors nous revenons à la case départ », a déclaré à l’AFP le directeur de l’Institut finlandais des affaires internationales, Teija Tiilikainen.

    Helsinki a annoncé mardi la conclusion d’un accord avec Athènes sur le nantissement de la partie finlandaise du prêt européen à la Grèce. A la suite de cette annonce, selon les médias grecs, l’Autriche, les Pays-Bas et la Slovaquie, voire, selon le journal libéral Kathimérini, la Slovénie, envisagent désormais de réclamer eux aussi des garanties.

    Alors que l’accord entre Helsinki et Athènes doit encore être approuvé par les ministres de la zone euro, l’analyste financier Jan von Gerich, de la banque nordique Nordea, estime faibles les chances d’aboutissement de nouvelles demandes de nantissement.

    « La Grèce n’a pas les moyens d’octroyer ce type de garanties, ou alors il faudra augmenter substantiellement le montant du prêt », prévient-il dans le principal quotidien finlandais Helsingin Sanomat.

    Un responsable du ministère grec des Finances a assuré vendredi à l’AFP que la Grèce ne discutait avec aucun autre pays de la mise en place de garanties en échange des prêts.

    Au terme d’un sommet de crise le 21 juillet, la zone euro a annoncé un deuxième plan d’aide à la Grèce, de 158,6 milliards d’euros. L’accord entre Helsinki et Athènes prévoit que la Grèce dépose dans les caisses de l’Etat finlandais une somme qui, ajoutée aux intérêts qu’elle produira, couvrira au bout du compte le montant du prêt garanti par la Finlande.

    Le ministère finlandais des Finances a refusé de commenter le débat en cours sur les nantissements, mais un porte-parole a rappelé à l’AFP, sous couvert d’anonymat, que l’accord annoncé mardi ne devait pas représenter une surprise car Helsinki insistait depuis des mois, et dans la plus grande transparence, sur l’obtention de telles garanties.

    L’aide européenne aux pays en difficulté a en effet été l’un des thèmes centraux de la campagne des législatives d’avril en Finlande. Les sociaux-démocrates – deuxième formation politique nationale – avaient insisté sur le fait qu’ils ne participeraient pas à un gouvernement qui accorderait un prêt sans nantissement et le Parlement a fait de ce point une exigence pour ratifier l’octroi d’un nouveau prêt.

    « Dans les jours qui viennent, nous allons bien voir s’il est acceptable que seule la Finlande bénéficie de nantissement, la question des prêts européens ayant provoqué de gros affrontements politiques chez nous, ou s’il faut reprendre complètement l’ensemble du plan d’aide », selon Mme Tiilikainen.

    La Finlande est un partenaire crucial dans le plan d’aide car elle est l’un des six pays de la zone euro à bénéficier d’une note de crédit AAA.

  5. Samedi 20 août 2011 :

    L’économiste en chef de la BCE Jürgen Stark a critiqué dans la presse autrichienne samedi l’annonce par le ministre français de l’Economie François Baroin le 8 août de rachats de dette espagnole et italienne par la BCE, alors que l’institution était muette à ce sujet.

    « C’était une déclaration irréfléchie. Cela tient peut être au fait que Baroin est nouveau à ce poste et qu’on doit encore mieux lui faire comprendre la séparation entre politique monétaire et politique fiscale. La Banque centrale européenne est indépendante, aussi dans la pratique », déclare M. Stark dans un entretien au quotidien die Presse.

    Pour éviter une extension de la crise de la dette à l’Italie et l’Espagne, la BCE est intervenue la semaine dernière massivement sur les marchés en rachetant un montant record de 22 milliards d’euros d’obligations publiques, sans en préciser la nature. Mais selon les analystes, il s’agissait principalement de titres italiens et espagnols.

    Le responsable de la BCE a réitéré ses critiques sur le second plan européen de sauvetage de la Grèce et de la zone euro adopté le 21 juillet.

    « Pour le contribuable, cela ne va pas être moins mais plus coûteux », a déploré M. Stark, visant les quelque 110 milliards (sur 160) supportés par l’Europe et le Fonds monétaire international.

    La BCE s’était farouchement opposée, avant de céder, à l’implication du secteur privé et à un allègement de la dette grecque.

  6. Hello Jean-Pierre,

    Some municipalities in France are in trouble because of loans connected with the Swiss Franc:
    http://online.wsj.com/article/SB10001424053111903639404576518662231498814.html?mod=WSJEurope_hpp_LEFTTopStories
    Saint Tropez is one of them. In one case, the municipality filed a lawsuit against the bank, Deutsche Bank in this case:

     »
    In late 2009, Saint-Etienne filed a civil complaint with a Paris court, accusing Deutsche Bank of having failed to provide the city with adequate advice. A Deutsche Bank spokesman declined to comment on the legal procedure, which is pending. In 2009, the bank had said that it « worked closely with the client to ensure that risks and opportunities of the transaction were well understood by all parties. »
     »

    Perhaps French banks are also in trouble because of these « high-risk structured loans »?

    What do you think?
    Thanks!

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