Il faut en laisser pour la suite…
Cliquer ici pour lire un article du Spiegel (en anglais, avec des graphiques et une photo) et cliquer ici pour lire un autre article édifiant de John Mauldin.
Business économiste monétariste, béhavioriste - Analyste financier indépendant, contrarian
Il faut en laisser pour la suite…
Cliquer ici pour lire un article du Spiegel (en anglais, avec des graphiques et une photo) et cliquer ici pour lire un autre article édifiant de John Mauldin.
Autres articles associés
Sur cette situation, sans avoir lu ces articles, je pense que l’on est face à une bande d’escrocs, escrocs qui par définition ne reconnaitront JAMAIS leurs tords, et donc constamment en quête d’une autre pirouette -inattendue- pour prolonger la situation sans qu’elle ne se déchire…
Tant qu’ils pourront faire perdurer, par exemple en piquant dans les caisses de cette institution si bien nommée Femmes de Ménages Incluses (FMI), ils feront perdurer, cela à n’importe quel prix.
Bonjour,
Je vais être un peu hors sujet, mais pour ce qui est de la Biélorussie, avez-vous vu que la partie est terminée?
Ce que me confirmait un de mes proches travaillant à la SG. Ils ne doivent plus faire de deals avec ce pays.
Ce que corrobore cet article, http://www.objectifeco.com/economie/anticipations-tendances/article/pascal-vinosoft-bielorussie-la-crise-dont-personne-ne-parle
Bonne semaine,
MF
Bisounours, Pet Shop, Hello Kitty, Charlotte aux Fraises, Mon Petit Poney, Jean-Marc Vittori.
Lundi 30 mai 2011 :
La piste d’un doux défaut grec.
Disons-le franchement : la salade grecque tourne au vinaigre. La semaine dernière, les débats sur la meilleure façon d’en finir avec la crise des finances publiques helléniques ont dépassé tout ce qui était imaginable en termes de cacophonie.
Comme dans un couple qui se déchire, on en est même venu aux menaces. Le FMI pourrait ne pas verser à Athènes les 3 milliards d’euros prévus en juin. La BCE pourrait ne plus accepter les obligations publiques grecques en garantie. Et pour faire bonne mesure, des dirigeants grecs menacent de quitter la zone euro.
Dans un tel enchevêtrement, il faut revenir aux fondamentaux. L’Etat grec a trop emprunté auprès de créanciers qui lui ont donc trop prêté. Pour éviter tout défaut, les pays de l’Union européenne ont mis en place avec le FMI un plan de sauvetage de 110 milliards d’euros, il y a un an, accompagné d’un plan d’austérité drastique. Aujourd’hui, il est clair que cette stratégie a échoué.
En récession, le pays n’aura pas de sitôt les moyens de rembourser et d’emprunter à nouveau dans des conditions normales. Il ne parvient pas à augmenter assez ses recettes fiscales, parmi les plus faibles de l’Union Européenne, et c’est normal – il faudra une décennie pour transformer la passoire des impôts grecs en un outil efficace de collecte.
Dès lors, il n’y a que deux solutions.
Soit les pays de l’Union continuent de monter des plans de sauvetage à coups de dizaines de milliards d’euros, dont il deviendra évident qu’il s’agit de fonds perdus – un choix de plus en plus difficile à défendre devant l’opinion.
Soit la dette grecque est rééchelonnée d’une manière ou d’une autre. C’est la plus mauvaise des solutions, mais elle est sans doute inévitable dans une Europe non fédérale. La question prioritaire est d’agir en faisant le moins de casse possible.
Pour éviter le pire, les banques européennes peuvent décider volontairement de renouveler leurs prêts à la Grèce quand les anciens viennent à échéance – comme « l’initiative de Vienne » prise en 2009 pour venir en aide aux pays de l’Est de l’Europe. La BCE pourrait aussi prendre sa part du fardeau, même si elle hurle à cette idée.
Reste à éviter l’implosion des banques grecques surchargées de dizaines de milliards d’euros de dette publique, ce qui demandera beaucoup d’imagination. Mais si on y arrive, la Grèce aura inventé le défaut en douceur. Une invention promise à un aussi grand succès d’exportation qu’une autre de ses inventions, la démocratie.
Jean-Marc Vittori.
http://www.lesechos.fr/opinions/edito/0201403151838-la-piste-d-un-doux-defaut-grec-170048.php
Un des liens ne fonctionne pas
Normalement, c’est corrigé.
Et si la BCE faisait faillite: http://www.moneyweek.fr/20110555783/conseils/economies/bce-faillite-grece-hyperinflation/
Jeudi 26 mai et vendredi 27 mai, le « bank run » a continué en Grèce. Les épargnants grecs ont retiré 1,5 milliards d’euros en deux jours.
http://globaleconomicanalysis.blogspot.com/2011/05/panic-capital-flight-in-greece.html
Les épargnants grecs ont retiré et placé 280 milliards d’euros dans des banques suisses. 280 milliards d’euros, ça fait 344 milliards de francs suisses.
Affolés, les Grecs ont caché 344 milliards en Suisse, soit 280 milliards d’euros.
http://www.lematin.ch/actu/economie/affoles-grecs-cache-344-milliards-suisse-411703
Oui, mais ce n’est pas nouveau, c’est juste pire qu’avant ! Ils réagissent bien ces Grecs !
Les dettes , pas perdues pour tous.
Je connais nombre d’entreprises doubles qui chargent l’une pour la mettre en liquidation.
Système bien connu de gestion.
Taxer les dettes plus que les bénéfices.