BCE : défaut de paiement en dollar perpétuel

Une banque de la zone euro a trouvé le moyen de renouveler chaque semaine depuis le 15 septembre son emprunt de 500 millions de dollars (US$) auprès de la BCE,


Ça ne pourra pas durer éternellement comme l’a déjà dit tristement comme toujours le bombardier furtif B-2, Ben Bernanke, d’autant plus qu’il y a 6 autres banques dans la même situation maintenant.

Cliquer ici pour lire un de mes articles précédents sur ce sujet.

6 réflexions sur “BCE : défaut de paiement en dollar perpétuel”

  1. Mercredi 19 octobre 2011 :

    La banque centrale européenne a racheté mercredi des obligations italiennes à 10 ans pour endiguer l’élargissement du spread de rendement entre les emprunts transalpins et allemands, ont déclaré deux traders.

    Le rendement est retombé à 385 points de base après avoir progressé à 390 points dans l’après-midi.

    « Les banques centrales rachètent des emprunts dans la zone de maturité de dix ans », a dit l’un d’entre eux.

    La BCE a réactivé son programme de rachats d’obligations en août, après une alerte sur l’Italie et l’Espagne, qui ont été vivement attaquées sur les marchés.

    http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRWEA839420111019

    Cela n’a pas empêché l’Italie et l’Espagne de voir les taux de leurs obligations d’Etat augmenter mercredi :

    Espagne : taux des obligations à 10 ans : 5,403 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GSPG10YR:IND

    Italie : taux des obligations à 10 ans : 5,903 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GBTPGR10:IND

  2. Wall Street a fini en baisse mercredi, les investisseurs faisant preuve d’une nervosité grandissante à l’approche du sommet de l’UE, dans lequel ils ont placé leurs espoirs de voir la crise de la zone euro enfin résolue : le Dow Jones a cédé 0,63%, le Nasdaq 2,01%.

    « L’atmosphère du marché est en train de se détériorer au fur et à mesure que l’on se rapproche de l’échéance, ce qui est assez classique comme phénomène », a résumé Evariste Lefeuvre, chef économiste de Natixis pour les Amériques.

    « Il y a beaucoup trop d’attentes », a-t-il insisté, « le marché commence à se dire qu’il a peut-être été un peu trompé ».

    Wall Street a nettement chuté peu après 18H00 GMT, au moment où le président français Nicolas Sarkozy rencontrait à Francfort la chancelière allemande Angela Merkel, ainsi que le président sortant de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet.

    Assistaient également à cette réunion : les présidents de l’Union européenne et de la Commission européenne Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso, la directrice générale du Fonds monétaire international Christine Lagarde, et le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker.

    « Le fait que Trichet, Merkel et Sarkozy se rencontrent, ça inquiète tout le monde, ça veut dire qu’ils n’arrivent pas à parler d’une même voix », a souligné M. Lefeuvre.

    A l’origine du recul amplifié de Wall Street : un article du Wall Street Journal, selon qui les avocats des gouvernements des 17 pays membres de la zone euro et des institutions européennes ont rejeté le principe de garanties directes au FESF, relevant que cela allait à l’encontre des traités.

    http://www.boursorama.com/actualites/wall-street-finit-en-baisse-la-nervosite-grandit-avant-le-sommet-de-l-ue-73969285cd7dcd389417ff8054ee6d85

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