€ crise : spéculations…

Face à la crise dans la zone euro, spéculons, c’est-à-dire, prenons un peu de hauteur pour examiner correctement le champ de bataille pour gagner (en capital)…

Manifestement, la manip est claire : Angela ne veut plus payer parce que ses électeurs ne veulent plus payer des vacances à ces cochons du Club Med, mais elle ne veut pas en prendre l’initiative ni la responsabilité.
Elle a conclu un accord (secret) avec les gens de la BCE qui ne sont pas élus : ce sont eux qui prennent l’initiative de la rupture en refusant de perpétuer les prêts illimités à 1 % qu’ils accordaient généreusement à toutes les banques sous le prétexte que la situation est maintenant normalisée.

Les banques grecques vont sombrer mais elles pourront être sauvées in fine par l’Etat qui sera sauvé des eaux lui-aussi par le FMI qui dispose d’un trésor de 940 milliards de dollars.
C’est la raison pour laquelle notre histrion ignare se démène pour y caser sa Bécassine qui pourra sauver l’Etat grec qui sauvera les banques grecques et par la bande les Gos banques françaises.

Simple et un peu tiré par les cheveux, mais ça peut marcher en turbulant un peu beaucoup.
Le reste, c’est du détail, mais qui compte.

La stratégie gagnante dans l’avenir proche est plus que jamais d’investir son capital (en dollars, US$) dans des actions sous cotées (aux Etats-Unis) de sociétés en croissance et créant de la valeur pour leurs actionnaires, ce qui correspond à mes offres…

7 réflexions sur “€ crise : spéculations…”

  1. Pendant ce temps, y en a un qui essaie de Noyer le poisson !

    DJ Noyer: la Grèce a de la marge pour régler ses problèmes
    Dow Jones le 26/05/2011 à 14:36

    PARIS (Dow Jones)–Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France, a déclaré jeudi que la Grèce disposait d’une importante marge de manoeuvre pour assainir ses finances publiques.

    Athènes peut collecter les arriérés d’impôts, conduire un programme de privatisations, et dispose d’une « énorme marge de manoeuvre » pour mettre en place les « réformes structurelles » nécessaires à son économie, a expliqué le banquier central, également membre du conseil des gouverneurs de la BCE, dans un entretien sur BFM.

    « Notre sentiment », a indiqué C.Noyer, est que la Grèce devrait être en mesure de sortir de l’ornière.

    Il faudra toutefois attendre un certain temps pour que les efforts de la Grèce portent leurs fruits, a-t-il nuancé.

    Le banquier central a confirmé son opposition à un défaut de la Grèce sur sa dette. Les conséquences seraient traumatisantes pour le pays, a-t-il ajouté.

    Il a toutefois précisé que son opposition n’était pas liée à l’exposition des banques et des assurances françaises à la dette souveraine de la Grèce, qu’il a jugée non « préoccupante » et « sans impact majeur ».

    Les programmes que l’Irlande et le Portugal ont mis en place pour assainir leurs finances publiques sont « très crédibles », a-t-il estimé.

  2. Jeudi 26 mai 2011 :

    Si jamais le Fonds monétaire international (FMI) décidait de ne pas verser la prochaine tranche à la Grèce dans le cadre d’un plan d’aide de 110 milliards d’euros pour le pays, alors il est attendu des pays européens qu’ils interviennent, a déclaré Jean-Claude Juncker.

    « Si les Européens apprennent que les fonds que doit débloquer le FMI le 29 juin ne peuvent l’être, alors le FMI attend des Européens qu’ils prennent le relais et assurent la part FMI du financement de la Grèce », a déclaré jeudi le président de l’Eurogroupe.

    « Mais ceci ne sera pas faisable en raison de la réticence de certains parlements – en Allemagne, en Finlande, aux Pays-Bas et ailleurs – à intervenir de la sorte », a-t-il poursuivi lors d’une conférence de presse.

    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/05/26/97002-20110526FILWWW00606-l-ue-doit-aider-la-grece-si.php

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