La vague bleue Marine déferle…

La vague bleue Marine Le Pen, dopée par ses bons résultats aux dernières élections et ceux des autres socialistes nationalistes en Finlande mélange le meilleur comme le pire : déficits, dettes, inflation, insolvabilité des banques et des Etats, futur choc pétrolier, austérité sociale, risque de « récession hyper-inflationniste», l’acharnement des technocrates de l’Union Européenne et de la BCE enfermés dans leur dogme ultralibéral pour sauver l’euro « à tout prix », la loi monétariste naturelle, qu’à une nation correspond une monnaie.

Elle prédit un prochain « armageddon mondial » sur les monnaies de papiers (dollar, euro..).

Cliquer ici pour lire son communiqué : Le surendettement : du mur des réalités à l’éclatement de la zone euro !

11 réflexions sur “La vague bleue Marine déferle…”

  1. Trois Etats européens vont se déclarer en défaut de paiement.

    Les marchés internationaux n’ont plus aucune confiance dans la capacité de ces trois Etats à rembourser leurs dettes.

    Irlande : taux des obligations à 2 ans : 10,347 %.

    Irlande : taux des obligations à 3 ans : 11,216 %.

    Irlande : taux des obligations à 5 ans : 10,863 %.

    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 10,066 %.

    Portugal : taux des obligations à 2 ans : 10,492 %.

    Portugal : taux des obligations à 3 ans : 10,825 %.

    Portugal : taux des obligations à 5 ans : 11,134 %.

    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 9,280 %.

    Grèce : taux des obligations à 2 ans : 22,019 %.

    Grèce : taux des obligations à 3 ans : 22,041 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB3YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 5 ans : 16,540 %.

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 14,751 %.

  2. le pb c’est que le populisme marche à plein. Marine surf surf sur le retour de l’étalon or.
    Actuellement les marchés lui donnent raison et le bon père de famille à placé touts ces économies dans le gold….
    Pour sur, il va falloir composer avec elle lors des prochaines élections…. en même temps entre la peste: stauss khan et le coléra: marine , faites votre choix…..

  3. Les taux du marché des obligations à 2-3-5-10 ans pour ces pays …. qui me peuvent de toute manière émettre aucune nouvelle dette sur ces échéances sur le marché ne veulent pas dire grand chose (en tout cas pas la même chose que si ces Etats pouvaient émettaient de nouvelles oblig sur le marché à ces taux). C’est uniquement une estimation par le marché de la valeur à laquelle ces obligations pourraient être rachetées un jour par le fameux « Fond de secours », non ?

    Tant que ces Etats trouvent, soit sur le marché, soit auprès du dit « Fond de secours » assez de fonds (éventuellement à court terme) pour payer les intérêts des dettes longues passées, et pour financer leurs dépenses (déficits) courantes, il n’y aura pas de défaut. Et ça pourrait bien durer longtemps, vues les réserves du « Fond de secours ».

    Que le cours des obligations longues de ces Etats baissent sur le marché pour afficher des taux de 20 ou 30% n’y changera pas grand chose (sauf que si ça baisse assez, le « Fond de secours » pourrait trouver plus intéressant de racheter une partie de la dette que de financer les intérêts).

    Sinon, pour en revenir au « communiqué » du FN, j’avoue que l’idiot inutile que je dois être n’y comprend pas grand chose. Ca ressemble à une longue liste d’affirmations, de chiffres, de prévisions, qui ne semblent avoir comme seul but que de montrer qu’elle y comprend quelque chose, et que le lecteur devrait la croire et lui faire confiance. Je ne dois pas être le lecteur qu’elle recherche.

  4. Jeudi 21 avril 2011 :

    Tous les records sont pulvérisés.

    En Europe, plus personne ne contrôle la situation.

    La situation européenne est devenue totalement incontrôlable.

    Irlande : taux des obligations à 2 ans : 11,270 %.

    Irlande : taux des obligations à 3 ans : 11,944 %.

    Irlande : taux des obligations à 5 ans : 11,341 %.

    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 10,296 %.

    Portugal : taux des obligations à 2 ans : 11,513 %.

    Portugal : taux des obligations à 3 ans : 11,280 %.

    Portugal : taux des obligations à 5 ans : 11,453 %.

    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 9,539 %.

    Grèce : taux des obligations à 2 ans : 22,992 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB2YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 3 ans : 22,608 %.

    Grèce : taux des obligations à 5 ans : 16,897 %.

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 14,897 %.

    1. BONDS EUROPE/Rumeurs de restructuration de dette grecque, nouveaux records
      Paris (awp/afp) – Les taux grecs, portugais et irlandais à 10 ans ont atteint jeudi de nouveaux records, sur des nouvelles rumeurs de restructuration de la dette grecque alimentée par un courriel émanant vraisemblablement de la banque américaine Citigroup.
      Vers 18H30 (16H30 GMT), les taux grecs à dix ans étaient à 14,719% contre 14,584% mercredi à la clôture tandis que les rendements portugais sur la même période étaient à 9,359% contre 9,141%% la veille.
      De leur côté, les taux irlandais à 10 ans ont atteint 10,244% contre 9,846% la veille en clôture, s’installant bien au-dessus des 10%.
      Preuve de la pression exercée par les marchés, la tension était encore plus flagrante sur les taux courts –à deux ans– qui s’envolaient à 11,184% contre 10,216% mercredi pour le Portugal, et à 22,207% contre 21,314% pour la Grèce.
      Pour Cyril Regnat, stratégiste chez Natixis, ce sont une nouvelles fois les craintes de restructuration de la dette grecque qui ont pesé.
      La banque Citigroup est en effet soupçonnée d’être à l’origine de l’envoi mercredi d’un courriel évoquant une possible restructuration de la dette de la Grèce au cours du week-end de Pâques.
      Selon les premiers éléments de l’enquête, ouverte à la demande du ministère grec des Finances, la justice cherche à identifier les membres d’une banque d’investissement américaine auteurs d’un mail envoyé à des opérateurs de marché et des hommes d’affaires, a-t-on indiqué de source judiciaire.
      « De telles rumeurs sont absurdes », a jugé le ministre grec des Finances, alors que des journaux grecs et étrangers affirment depuis plusieurs jours que la Grèce cherche à négocier rapidement une restructuration de sa dette, qui s’élevait à 340 milliards d’euros fin 2010.
      Ces nouvelles rumeurs « attisent les tensions sur les deux autres pays, ce qui est paradoxal car les émissions espagnole et surtout portugaise mercredi se sont plutôt bien déroulées », souligne le stratégiste parisien.
      Et de rappeler que Lisbonne a annoncé il y a une semaine que le déficit du budget de l’Etat s’est réduit de 60% au premier trimestre, en raison d’une hausse des recettes fiscales de 15% et d’une baisse des dépenses.
      « Le marché se trompe et sous-estime les conséquences d’une restructuration de la dette sur les banques locales et ensuite sur les banques européennes », développe-t-il, évoquant des risques de contagion importants.
      AWP / 21.04.2011

      15 à 70 % de pertes sur 340 milliards €, ça fait cher pour les contribuables euro zonards !

  5. Vendredi 22 avril 2011 :

    La Grèce envisage d’étendre la maturité de sa dette afin d’être en mesure de la rembourser, rapportent vendredi deux journaux grecs.

    Le gouvernement de George Papandréou réfléchit à une « restructuration de velours » qui comporterait un allongement de la dette et un accord avec les créanciers pour modifier les termes du remboursement, indique le quotidien Ta Nea, sans citer de source.

    Selon Isotimia, Athènes pourrait chercher à étendre la maturité du total de ses encours de cinq ans en moyenne. Cette opération interviendrait après négociation avec ses créanciers, précise le journal en citant des sources gouvernementales.

    Aucune décision définitive n’a encore été prise à ce propos et les discussions en sont encore à un stade informel, ajoute Isotimia.

    Les autorités grecques ont répété à plusieurs reprises qu’elles ne restructureraient pas la dette du pays, allant à l’encontre de la conviction de nombreux observateurs qui jugent cette opération inéluctable.

    Une large majorité d’économistes interrogés par Reuters juge que la Grèce devra se résoudre à cette solution dans les deux prochaines années en dépit de sa résistance.

    http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRLDE73L03R20110422

    Grèce : taux des obligations à 2 ans : 23,013 %.

    Grèce : taux des obligations à 3 ans : 22,681 %.

    Grèce : taux des obligations à 5 ans : 16,734 %.

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 14,903 %.

  6. En Europe, plus personne ne contrôle la situation.

    La situation européenne est devenue totalement incontrôlable.

    Irlande : taux des obligations à 2 ans : 11,987 %.

    Irlande : taux des obligations à 3 ans : 12,604 %.

    Irlande : taux des obligations à 5 ans : 11,861 %.

    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 10,514 %.

    Portugal : taux des obligations à 2 ans : 11,695 %.

    Portugal : taux des obligations à 3 ans : 11,501 %.

    Portugal : taux des obligations à 5 ans : 11,792 %.

    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 9,581 %.

    Grèce : taux des obligations à 2 ans : 24,195 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB2YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 3 ans : 23,661 %.

    Grèce : taux des obligations à 5 ans : 17,306 %.

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 15,366 %.

  7. Mercredi 27 avril 2011 :

    Irlande : taux des obligations à 2 ans : 12,004 %.
    Irlande : taux des obligations à 3 ans : 12,520 %.
    Irlande : taux des obligations à 5 ans : 11,875 %.
    Irlande : taux des obligations à 10 ans : 10,456 %.

    Portugal : taux des obligations à 2 ans : 11,769 %.
    Portugal : taux des obligations à 3 ans : 11,452 %.
    Portugal : taux des obligations à 5 ans : 11,650 %.
    Portugal : taux des obligations à 10 ans : 9,621 %.

    Grèce : taux des obligations à 2 ans : 25,398 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB2YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 3 ans : 24,717 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB3YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 5 ans : 18,130 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB5YR:IND

    Grèce : taux des obligations à 10 ans : 16,184 %.

    http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB10YR:IND

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