La valise ou le cercueil, le film

Les hommes se sont massivement et cruellement massacrés pendant des millénaires, souvent dans des guerres de religion, mais depuis quelque temps, la mentalité des gens a changé : ils cherchent surtout le moyen d’obtenir un taux de croissance du PIB dans les 2 % plutôt que dans les 1 %.

Seuls beaucoup de musulmans continuent à préférer mourir en tuant le plus possible de monde et entre autres des Européens qu’ils désignent comme leurs ennemis alors que leurs victimes ne faisaient que vivre normalement et paisiblement dans leur propre pays.

Il y a une cinquantaine d’années, les hippies allaient en stop en Inde. Il y a une dizaine d’années, le Paris-Dakar traversait encore le Sahara. Il y a 2 ans les fonds de la Mer Rouge sur la côte égyptienne étaient encore accessibles. Récemment encore, la Turquie et en particulier Istanbul étaient des destinations touristiques très prisées…

L’islam gagne du terrain. Les pays musulmans dans lesquels les non-musulmans doivent faire leurs valises (sinon c’est le cercueil dans le meilleur des cas) sont de plus en plus nombreux et leurs dirigeants sont de plus en plus agressifs, certains comme les Iraniens répétant qu’un de leurs principaux buts est de détruire Israël en cherchant entre autres à produire des bombes atomiques.


Schumpeter avait bien prédit (pendant la Seconde guerre mondiale) que le capitalisme libéral pourrait triompher du socialisme nationaliste mais qu’il pourrait être menacé à terme de l’intérieur par un socialisme larvé, celui qui est imposé maintenant par la nomenklatura euro-zonarde ou de l’extérieur par des sectes religieuses sans avoir pu toutefois désigner les sectes musulmanes.

En fait, la vieille Europe continentale est victime de ces deux ennemis.

Maintenant, c’est trop tard pour réagir. C’est la valise ou le cercueil pour les Européens et les Français en particulier.

Les musulmans s’incrustent lentement mais surement dans beaucoup de pays. Ils sont sans structure centralisée, mais avec des unités plus ou moins autonomes très efficaces à terme.

Pour comprendre comment des Européens, les Français d’Algérie, se sont fait prendre à ce piège pernicieux, il faut voir le film La valise ou le cercueil. Il est édifiant.

Il ne passe pas sur les chaines télé car il a été censuré par la nomenklatura mais une version est visible gratuitement sur internet et un DVD est vendu sur Amazon.

Cliquer ici pour voir ce film.

18 réflexions sur “La valise ou le cercueil, le film”

      1. Tellement bien que cela explique le score d’un Sanders …

        L’Iran a pour ennemi principal … les pays du Golfe et les pays arabes sunnites en général …

        https://en.wikipedia.org/wiki/Iran%E2%80%93Contra_affair

        Pour Istanbul, c’est l’arrivée des arabes après avoir détruit leurs pays, pour la Belgique et la France pareil …

        C’est chaque fois le même pattern, les arabes arrivent et contaminent les autres (Tchétchènes, Afghans, Pakistanais, Peuls, Somaliens …)

        La géopolitique, ça n’a pas l’air d’être votre dada, allez à quand la remontée des taux de la Fed … Si réellement, la croissance était SI SOLIDE …

  1. Merci Monsieur Chevallier,
    J’ai 60 ans, enfant j’avais entendu mon père gendarme, qui n’a pas fait l’Algérie, parler avec ses collègues des horreurs, mais je n’avais jamais pris en compte la dimension politique, sociale, humaine dans sa globalité.
    Enfin j’apprends la vérité historique.
    J’ai honte d’être français d’une certaine façon, en tous cas je comprends que cette incurie politique du passé n’a pu engendre que médiocrité dans la classe politique par la suite.
    Le film est bouleversant, j’en ai pleuré, je me souviendrai toujours de cette vérité historique

    1. Le principe était de donner l’indépendance aux Algériens, de reprendre les Français, chacun chez soi et les vaches seront bien gardées.

      Un démographe a expliqué à de Gaulle le danger démographique et ne voulait pas accorder aux Algériens la nationalité français pour pas que son patelin ne devienne Colombey-les-2-Eglises.

      Oui mais voilà, les Arabes ayant raté leur gestion économique ont tenté de rejoindre l’ancien colonisateur …

  2. « Seuls beaucoup de musulmans continuent à préférer mourir en tuant le plus possible de monde et entre autres des Européens qu’ils désignent comme leurs ennemis alors que leurs victimes ne faisaient que vivre normalement et paisiblement dans leur propre pays. »

    Oui… et non.
    Il eût été utile de mentionner que ce sont les dirigeants occidentaux qui sont allés décapiter les régimes qui les tenaient en laisse.

    1. C’est sa « chère » Amérique qui a déstabilisé l’Irak, c’est Obama qui a failli attaqué la Syrie pour dégager Bachar.

      Pour la Libye, c’est Sarkozy, à chaque fois Daesh profita du vide …

  3. Cette vidéo est exceptionnelle et corrobore des vidéos que j’ai eu la chance de voir, appartenant à la petite fille d’un certain Chevallier……Jacques, ancien maire d’Alger(films super 8).J’ai vu ce que la France a fait de ce pays et de ses habitants vivant au départ dans des bidonvilles, les travaux d’hercule réalisés avec les moyens d’époque en un temps record; la population a ainsi découvert l’école, les colonies de vacances etc. Bien éloigné de cette histoire, qu’aurais je fait à cette époque si ce n’est aller dans le sens du référendum condamnant tous ces gens et tout çà par ignorance, inculture. Mais les choses ont elles changé au point de ne pas répéter les mêmes erreurs? Qu’est entrain de perdre notre pays au prix de la perte de notre souveraineté tant espérée par la nomenklatura et pas que…si l’on en croit le sens de l’histoire, tout est perdu d’avance…

  4. La mort de Daniel Lefeuvre est une perte immense pour la minuscule phalange des africanistes libres, eux qui, dans les Thermopyles de la pensée, ont décidé de combattre jusqu’au bout les masses du bas clergé universitaire porteuses du politiquement correct. Né le 11 août 1951 et mort le 4 novembre 2013, le brillant universitaire qu’était Daniel Lefeuvre avait suivi la voie ouverte par Jacques Marseille qui fut son directeur de thèse. Après que ce dernier eut magistralement prouvé que, loin de les avoir pillées, la France s’était appauvrie dans ses colonies[1], Daniel Lefeuvre, alors professeur à l’université de Paris VIII, démontra dans un livre fondateur[2] que l’Algérie fut un insupportable fardeau pour la France et que, loin de l’avoir pillée, la France s’y ruina.Une telle remise en cause de la doxa marxisto-tiers-mondiste venant d’un ancien communiste[3] provoqua un véritable déchaînement de haine chez les « bien-pensants ».

    La thèse de Daniel Lefeuvre renversait les dogmes et les idées-recues. Que l’on en juge : en 1959, toutes dépenses confondues, la « Chère Algérie » engloutissait à elle seule 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !
    En soulageant les misères des populations algériennes et en faisant reculer la mortalité infantile la France avait créé les conditions d’une catastrophe qu’elle s’était elle-même condamnée à gérer. Résultat du dévouement et de l’efficacité du corps médical français, à partir de 1945, chaque année 250 000 naissances nouvelles étaient comptabilisées en Algérie, soit un accroissement de 2,5 à 3% de la population d’où un doublement tous les 25 ans. Or, depuis les années 1930 les ressources locales stagnaient et depuis 1935 le territoire n’était plus en mesure de nourrir sa population. La France devait donc, et toujours aux frais du contribuable métropolitain, y importer grains, pommes de terre, viande, laitages etc., Même l’huile produite localement ne suffisait plus à la consommation.
    L’image d’Epinal de l’Algérie « grenier » de la France s’envolait ainsi sous le froid scalpel de l’historien économiste.

    Daniel Lefeuvre montrait ainsi que l’Algérie s’enfonçait inexorablement dans le néant, les gouvernements français successifs se contentant d’accompagner financièrement une crise allant en s’aggravant année après année, tout en nourrissant les bouches nouvelles, en bâtissant des hôpitaux, des écoles, des routes, des ponts et en tentant de créer artificiellement des milliers d’emplois.
    A l’exception de Vichy qui tenta une audacieuse politique d’industrialisation qui ne fut pas poursuivie après la Libération, aucun gouvernement n’osa lancer les indispensables grandes réformes structurelles. Aucun n’osa poser la question du nécessaire désengagement, l’appartenance de l’Algérie à l’ensemble français étant alors une évidence pour tous les partis politiques, de droite comme de gauche, parti communiste compris. Mais l’aveuglement avait un coût que les économistes et les milieux patronaux métropolitains évaluèrent. Lucides et inquiets ils tirèrent la sonnette d’alarme. En vain.

    En 1953 les politiques durent se rendre enfin à l’évidence car les recettes locales ne permettaient plus de faire face aux dépenses de fonctionnement. L’Algérie était bel et bien en faillite.
    En 1952, anticipant en quelque sorte la situation, le gouvernement de l’époque avait demandé au parlement le vote de 200 milliards d’impôts nouveaux, tout en étant contraint de faire des choix budgétaires douloureux. Pour aider encore davantage l’Algérie il fallut donc faire patienter la Corrèze et le Cantal. Le sacrifice des Français de France fut alors double puisque leurs impôts augmentaient tandis que les engagements de l’Etat dans les domaines routiers, hospitaliers, énergétiques, etc., étaient amputés ou retardés.

    « Tutrice généreuse », la France couvrait « avec constance les découverts de sa pupille », et l’implication du budget national dans les déséquilibres algériens allait sans cesse en augmentant. C’est ainsi que, de 1949 à 1953 le volume des investissements sur fonds publics en francs courants atteignit 305 milliards dont les 4/5° assurés par l’Etat français. De 1952 à 1956 les ressources d’origine métropolitaine affectées au financement du 2° plan d’équipement passèrent de 50% à plus de 90%. Le pic de l’aberration fut même atteint avec le « Plan de Constantine » annoncé par le général De Gaulle le 3 octobre 1958 et qui, lui aussi, prétendait apporter une réponse économique à des problèmes sociaux, démographiques, culturels et politiques.

    L’addition des sommes versées par l’Etat français, donc par nos parents ou nos grands-parents, donne le vertige :
    – Durant les seuls 9 premiers mois de 1959 les crédits d’investissement en Algérie atteignirent 103,7 milliards dont 71,5 milliards directement financés par le Trésor français.
    -De 1950 à 1956, la seule industrie algérienne reçut, hors secteur minier, en moyenne 2 395 millions d’anciens francs annuellement.
    – En 1959 et en 1960 cette somme atteignit en moyenne 5 390 millions.

    Entre 1959 et 1961, pour le seul « plan de Constantine », les industries métropolitaines investirent 27,40 milliards d’anciens francs hors secteur des hydrocarbures. Les industriels français étaient-ils soudainement devenus philanthropes, eux qui s’étaient jusque là prudemment tenus à l’écart de la « chère Algérie » ? Daniel Lefeuvre donne l’explication cette soudaine « générosité » : « le prix des créations d’usines en Algérie (a) été payé par les contribuables métropolitains grâce à un cadeau de 90 millions d’anciens francs fait par l’Etat à chaque industriel » !

    Quels intérêts la France avait-elle donc à défendre en Algérie pour s’y ruiner avec une telle obstination, avec un tel aveuglement ? La réponse est claire : économiquement aucun ! Et pourtant : « Que d’articles, de déclarations, de discours pour rappeler que l’Algérie est le premier client de la France ! Que de sottises ainsi proférées sur le nombre d’ouvriers français qui travaillaient grâce aux commandes passées par l’Empire ! » écrit Daniel Lefeuvre.
    Qu’il s’agisse des minerais, du liège, de l’alpha, des vins, des agrumes etc., toutes les productions algériennes avaient en effet des coûts supérieurs à ceux du marché. En 1930 le prix du quintal de blé était de 93 francs en métropole alors que celui proposé par l’Algérie variait entre 120 et 140 f, soit 30 à 50% de plus.

    C’est parce que la France payait sans discuter que l’Algérie pouvait pratiquer ces prix sans rapport avec les cours mondiaux ce qui, en 1934, fit tout de même dire au rapporteur général de la Commission des finances des Assemblées financières algériennes : « Il n’y a pas d’exemple assurément que par sa législation protectrice, par son économie dirigée, l’Etat ait fait subir à la loi naturelle de l’offre et de la demande une aussi profonde mutilation ».
    Résultat d’une telle politique, l’Algérie qui avait vu se fermer tous ses débouchés internationaux en raison de ses prix n’eut bientôt plus qu’un seul client et un seul fournisseur, la France, qui continuait d’acheter à des cours largement supérieurs au marché des productions qu’elle avait déjà largement payées puisqu’elle n’avait cessé de les subventionner !
    Le plus insolite est que l’Algérie ne fit aucun effort tarifaire dans sa direction, dévorant sans gène une rente de situation assurée par les impôts des Français. Ainsi, entre 1930 et 1933, alors que le vin comptait pour près de 54% de toutes ses exportations agricoles, le prix de l’hectolitre qu’elle vendait à la France était supérieur de 58% à celui produit en Espagne, ce qui n’empêchait pas la métropole de se fermer au vin espagnol pour s’ouvrir encore davantage au sien…

    Daniel Lefeuvre a également démontré que, contrairement aux idées reçues, la main d’œuvre industrielle en Algérie était plus chère que celle de la métropole. Un rapport de Saint-Gobain daté de 1949 en évalue même le surcoût : « pour le personnel au mois, la moyenne des (rémunérations versées) ressort à 27000 f pour la métropole contre 36000 f en Algérie (…) Par comparaison avec une usine métropolitaine située en province, l’ensemble des dépenses, salaires et accessoires est de 37% plus élevée ».
    L’industrialisation de l’Algérie était donc impossible, sauf à rembourser ce surcoût aux industriels. C’est d’ailleurs ce que fit la France comme le montre l’exemple de la verrerie particulièrement bien étudié par Lefeuvre. En 1945 une bouteille fabriquée en Algérie coûtant 78% de plus que la même bouteille produite en métropole, il valait mieux importer que de fabriquer sur place. Un accord fut alors conclu entre les Verreries d’Afrique du Nord (VAN), la Caisse des marchés de l’Etat et le Crédit national : les VAN s’engageaient à produire en Algérie même des bouteilles et des dérivés puis à les mettre sur le marché à un prix agréé par le Gouvernement général de l’Algérie ; en contrepartie l’Etat prenait à son compte les pertes. Quant aux investissements nécessaires à la relance de la fabrication et qui étaient de 150 millions de f de 1946 ils étaient assurés pour 50 millions par l’Etat et les 100 millions restants par emprunt du Crédit national avec garantie étatique. De plus, pour faire face aux dépenses de fabrication, les VAN disposeraient de crédits d’aval de 70 millions consentis par la Caisse des marchés.
    Pour survivre, l’industrie algérienne devait non seulement disposer d’un marché local protégé mais encore être subventionnée par l’Etat français…

    La découverte des hydrocarbures en 1956 ne changea pas la donne et l’Etat français fut contraint d’imposer quasiment à des compagnies réticentes une mise en production qui débuta timidement entre 1957 et 1959 pour démarrer véritablement en 1961. Ce pétrole était en effet trop léger pour la transformation en fuel dont avait alors besoin l’industrie française. De plus, à cette époque, le marché mondial était saturé et le pétrole algérien entrait directement en concurrence avec le pétrole libyen plus facile à exploiter et à écouler. Enfin, le brut algérien était cher : 2,08 $ le baril contre 1,80 $ au cours mondial. Une fois encore la France vola donc au secours de l’Algérie en surpayant un pétrole dont elle avait pourtant financé les recherches et la mise en exploitation !

    Concernant l’immigration algérienne en France, et contrairement à tous les poncifs, Daniel Lefeuvre a définitivement démontré qu’avec le statut du 20 septembre 1947 conférant la citoyenneté française aux musulmans d’Algérie, ce fut la préférence nationale, en l’occurrence la préférence algérienne, que choisirent les gouvernements de la IV° République. Contrairement à une autre idée-recue, les choix des patrons métropolitains étaient au contraire à la main d’oeuvre italienne, espagnole et portugaise mieux formée donc moins chère et facilement assimilable. Comme l’écrit encore Daniel Lefeuvre, « contrairement à une légende tenace, l’afflux d’Algériens en métropole, dans les années 1950, ne répond pas aux besoins en main d’œuvre de l’économie française au cours des années de reconstruction ou des Trente Glorieuses » ce qui détruit « l’imagerie de rabatteurs, parcourant le bled, pour fournir à un patronat avide, la main d’œuvre abondante et bon marché dont il serait friand ».
    A lire ces lignes, on comprend que les Coquery-Vidrovitch, les Liauzu et les Stora aient eu des brûlures d’estomac…

    Bernard Lugan
    08/11/2013

    [1] Marseille, J., Empire colonial et capitalisme français. Histoire d’un divorce. Réédition en 2005.
    [2] Daniel Lefeuvre Chère Algérie. La France et sa colonie (1930-1962). 512 pages, 2005. Il s’agit de sa thèse remaniée pour le grand public.
    [3] Avec Daniel Lefeuvre, il nous arrivait d’évoquer nos « campagnes » du quartier latin, lui, comme militant des jeunesses communistes, moi à la tête du service d’ordre de l’Action Française. Il aimait raconter qu’il avait été particulièrement impressionné un jour où, alors que se tenait un grand meeting « antifasciste » à la Sorbonne, quelques audacieux (nous étions douze) n’avaient pas craint de l’attaquer au cri de « communistes hors des facs » et « vive le roi », avant de disperser les assistants à coups de manches de pioche…Ce fut à ce moment là disait-il en souriant que j’ai compris pourquoi les masses spartakistes avaient perdu devant les corps francs…

    1. Une interprétation monétariste s’impose : comme l’industrie n’était pas développée en Algérie, le niveau de productivité de l’Algérie française était inférieur à celui de la métropole, donc, une même monnaie dans ces deux pays était effectivement un non sens, et un gouffre pour la France, ou autre formulation : l’Algérie française était ce qu’est la Grèce actuellement pour l’Allemagne et les autres pays qui paient pour le Club Med.
      Par ailleurs, cela ne change rien au fait que les pieds noirs ont été trahis, ainsi que les Algériens pro-français, ni aux problèmes posés par les musulmans…

      1. Entièrement d’accord avec vous , ces années ont été marquées par le déshonneur , la trahison ( abandon des populations massacre du 5 juillet 1962 Oran et des combattants Harkis et français de l’armée D’Afrique, héros de Montecassino et de Rhin et Danube libérant la  » mère Patrie  » 17 ans plus tôt ) et la propagande anti pied noir avec déjà des médias aux ordres, présentant ce petit peuple multi culturel( français, espagnols, italiens , allemands, crétois , maltais ) et multi confessionnels comme des nababs qui roulaient en Cadillac fumaient le cigare.
        Amère Patrie !!!

  5. Bonjour,

    Certes comme vous l’avez dit : « c’est la valise ou le cercueil pour les Européens et les Français en particulier ». Cependant quelle destination choisir avec cette valise ?

    Bonne journée

  6. Monsieur Chevallier il faut arrêter de répéter la propagande des merdias euro-atlantiste : les méchants Iraniens qui veulent détruire Israël et l’occident, les méchants musulmans poseurs de bombes contre les gentils occidentaux démocrates (qui ne posent pas de bombes?), etc.

    Restez dans votre domaine de compétences, la finance.

  7. Monsieur Chevallier,

    l’Islam c’est la guerre assurée. Il est inutile de dire que certaines branches de l’Islam seraient plus dangereuses
    que d’autres (notamment celles qui sont mis en avant dans les médias comme les Salafistes). Le problème c’est l’ISLAM et c’est tout. Il suffit de lire ce que dit Anne Marie DELCAMBRE sur l’Islam,
    Ripostelaique.com et biens d’autres encore. Ce n’est surement pas la religion de paix et d’amour dont on
    nous rabâche les oreilles. Cette religion est en conquête du monde et elle en fait la démonstration tous les
    jours. Quand à ce qui se passe aujourd’hui c’est une partie d’échec qui est orchestré depuis très longtemps
    par les états unis, rien n’est le fruit du hasard, tous les coups sont permis et ils sont tous très biens calculés.
    L’europe sera affaiblis durablement et ce n’est pas les migrants  » qui sont bien entendus tous architectes, dentistes, médecins, couvreurs, plombiers etc ….;;  » qui vont nous y aider bien au contraire.
    Tout cela est en plus souhaité par nos politiques, qui ont préféré à une politique de natalité, faire venir des immigrants pare milliers si ce n’est pas par million. Le résultat de cette désastreuse politique on le voit aujourd’hui le déséquilibre ethnico religieux qu’ils ont enfanté sur notre territoire est en train de nous péter à la gueule. je terminerai par la phrase de Bossuet
     » Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes « .

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