Taux : manipulations, relâchements, €-crash et le Donald, suite mais pas la fin !

Suite et compléments de l’article précédent sur ce sujet…

Vendredi 29 juin, l’écart entre les rendements des Notes à 10 ans et ceux des Notes à 2 ans, le spread, est tombé en séance à son plus bas du cycle à 30,0 points de base selon les données relevées sur le Wall Street Journal,

Document 1 :

La baisse a été au maximum de 2,7 points de base d’une séance à l’autre mais une hausse des rendements des Notes à 10 ans en fin de séance a effacé ce plus bas record,

Document 2 :

Tout se passe comme si des investisseurs voulaient occulter ou retarder les signes précurseurs de l’€-crash car les dépêches et les commentaires se basent sur les seuls chiffres atteints en fin de séance.

Ce spread a quand même atteint 33,3 points de base en fin de séance, le plus bas en séance étant représenté par une petite étoile,

Document 3 :

La tendance baissière se poursuit donc en apparence lentement mais ce spread peut tomber à zéro très rapidement, en deux semaines de bourse,

Document 4 :

Les rendements des Notes à 10 ans et à 2 ans continuent à évoluer selon les courbes de tendance que j’ai tracées, ce qui confirme une fois de plus mes analyses,

Document 5 :

Le cycle poursuit sa baisse mais ce spread ainsi représenté est trompeur car il est sous-évalué pour les données récentes et il peut baisser très rapidement pour rejoindre sa tendance lourde,

Document 6 :

Les rendements des Notes évoluent là encore selon les courbes de tendances que j’ai tracées,

Document 7 :

Pour rappel : si les risques d’€-crash n’avaient pas existé, les rendements des Notes à 10 ans seraient restés dans les 3,5 % correspondant à la bande tracée en vert clair.

Des rendements de bons à 10 ans de Trésors de pays normaux ne devraient jamais tomber sous la barre critique des 2 %.
Des rendements négatifs, ça n’existe pas, c’est impensable, inimaginable, inconcevable… dans des pays normalement constitués, c’est-à-dire sans création monétaire,

Document 8 :

Les manipulations des marchés par la nomenklatura euro-zonarde camouflent plus ou moins bien l’€-crise qui couve et qui peut exploser maintenant à tout moment,

Document 9 :

Le Donald qui excelle dans le jeu de billard à trois bandes provoque des effets collatéraux considérables qui s’inscrivent dans sa politique qui consiste à renforcer l’Amérique et à affaiblir ses adversaires et concurrents dont l’€mpire germanique.

Tout est simple
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7 réflexions sur “Taux : manipulations, relâchements, €-crash et le Donald, suite mais pas la fin !”

  1. Bjr,
    Que penser de l’augmentation du bilan de la banque de France de plus de 25%, plus de 200milliards d’euros ?………..la grosse cavalerie!

  2. Extraordinaire ! furieusement extraordinaire !

    Ils font semblant d’oublier le pourquoi ils avaient inventé le Target… La circulation monétaire interbancaire de toute la zone€ est sous régulation artificielle géré par les BC depuis 10 ans (cavalerie, démontré ici-même) impuissantes pour prendre les mesures indispensables (fermeture des établissements scélérats) et ils préfèrent sacrifier la populace que de reconnaître leurs erreurs et corriger ces dysfonctionnement, de rétablir les fondamentaux.

    Oh, les amis ! Il n’y a plus de France, ils n’y a plus de Nations, il n’y a même plus d’Europe, juste de petites mafias qui ont leurs intérêts hors de cette zone contre nature. Macron ? président du vide, du néant.

    Foot ou art et KO sans fin ? Les meilleurs plaisanteries sont les plus courtes, sauf chez les banksters. La DB éjectée des US, responsables Audi en prison, des millions de VW à la décharge, plus taxes, plus amendes, plus restrictions en tous genres, plus… Tout le monde a compris, c’est très simple. Tout est simple, il n’y a rien à sauver dans cette zone, même pas en rêve.

    Tiens, les zozo de Bruxelles veulent une Armée ! pour défendre les moules-frites ?

    Chaud-chaud les marrons, c’est les vacances…

    1. OUI. Quand on préfère l’aliénation à la raison et l’intelligence, ça se termine toujours mal.
      Ce mensonge, cet esclavagisme, cette servitude, ce socialisme, cette bouillie infâme d’éco-citoyens, ce gros bordel nauséabond, rien de cela n’a d’avenir.
      Cette blague doit s’arreter.

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