Angela, sa cour et la zone €

Les rendements du Bund repartent à la baisse, ce qui signifie que les investisseurs avisés considèrent que l’Allemagne ne serait plus menacée par ces cochons de pays du Club Med,

Document 1 :

En effet, la Cour Constitutionnelle pourrait ne pas valider la capitulation d’Angela lors du dernier sommet européen, ce qu’elle avait certainement anticipé, et c’est pour cela qu’elle aurait accepté les exigences du Club Med (c’est lassant de toujours devoir s’opposer aux mêmes cancres).

Les dernières déclarations de Wolfgang Schäuble sont en concordance avec cette interprétation ainsi que les rendements des mauvais bons à 10 ans des Trésor de l’Espagne et de l’Italie qui sont repartis à des sommets comme avant le sommet européen,

Document 2 :

Les rendements des mauvais bons à 10 ans du Trésor français sont calés avec un écart de 80% par rapport à ceux du Bund,

Document 3 :

Ces maudits petits Suisses étant encore et toujours les meilleurs, les Finlandais commençant à vouloir les imiter en envisageant de sortir de l’euro-système, ce qui serait un début original de la chute des dominos.

2 réflexions sur “Angela, sa cour et la zone €”

  1. bonjour.Mr noyer vous a lu !!

    Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a affirmé vendredi que les banques centrales ne pouvaient pas se « substituer en permanence aux marchés financiers et aux banques », et ne devaient pas maintenir des taux d’intérêts bas ou nuls de manière prolongée.

    « Les capacités d’intervention des banques centrales sont naturellement limitées. Elles peuvent remédier aux dysfonctionnements temporaires des marchés (et) aux situations d’illiquidité causées par l’incertitude, et elles l’ont fait avec une ampleur jamais égalée dans l’histoire », a déclaré M. Noyer, qui s’exprimait lors des Rencontres économiques d’Aix-en-Provence, dans le sud de la France.

    « Mais elles ne peuvent pas se substituer en permanence aux marchés financiers et aux banques pour remplacer une intermédiation financière qui serait défaillante », a-t-il ajouté.

    « De même, lorsqu’elles mettent des taux d’intérêt bas ou nuls, elles contribuent à stabiliser l’économie en période de crise. Mais si elles prolongent cette action, ces taux créent des distorsions, favorisent la formation de bulles, créent des risques pour les investisseurs de long terme », a-t-il expliqué.

    Jeudi, la Banque centrale européenne (BCE) a décidé de baisser son principal taux directeur à 0,75%, son plus bas niveau historique, et son taux de dépôt à 0%, également son plus bas historique, pour tenter de redonner de l’élan à une économie atone en zone euro en encouragent le crédit.

    Mais elle n’a pas annoncé de nouvelles mesures de liquidités en faveur des banques ni signalé la reprise de son programme de rachat d’obligations publiques sur le marché secondaire, décevant les attentes des analystes et marchés.

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