Création monétaire et immobilier en €-zone

En reprenant les données les plus anciennes publiées par la BCE, c’est-à-dire depuis janvier 1995, il est bien confirmé qu’il n’y avait pas de création monétaire avant l’adoption de l’euro, mais qu’elle est bien régulière par la suite,

Document 1 :

Une des conséquences de cette création monétaire est l’augmentation anormale et historique des prix des reventes de logements telle qu’elle est mise en valeur par Jacques Friggit,

Document 2 :

Le palier atteint par les prix des reventes de logements correspond a priori à un plafond qui ne peut pas être dépassé.
Par la suite, les investisseurs semblent placer cet argent non gagné dans des valeurs mobilières.

Cliquer ici pour accéder au site de Jacques Friggit.

6 réflexions sur “Création monétaire et immobilier en €-zone”

  1. Bonjour.
    merci pour ce sujet intéressant

    Il me semble que les prix de l immobilier sont fortement tributaires des taux d intérêts historiquements bas actuellement.peut faut il surveiller l’empleur et la rapidité de la remontée éventuelle des taux dans le sillage de la fed et de la bce.La bulle devrait être commencer à eclater apres les élections pour le éviter les conséquences du mécontement des propiétaires…

  2. Je partage cet avis, et suis convaincu de l’éclatement de cette bulle immobilière depuis 4/5 ans. Mais cela n’arrive toujours pas, les prix (notamment parisiens) se sont envolés depuis début. A titre personnel, j’attends un dégonflement pour investir, mais cette attitude attentiste perd en crédibilité depuis plusieurs années face à mon entourage. Et je ne vois pas ce qui pourrait donner une piste de l’horizon auquel ce krach immobilier aura lieu.
    Je ne trouve pas de réponse dans les documents de Jacques Friggit notamment sur l’orientation vers ou l’autre de ses différents scénarios.

  3. Il est certain que les prix baisseront. Un enfant de 5 ans qui regarde la courbe sait prédire la suite du tracé, la seule incertitude étant de savoir à quelle moment la baisse (nécessairement violente) va s’engager. A ce moment là, et à ce moment seulement, le volume des transactions s’effondrera, il sera très difficile de sortir du marché sans consentir des baisses de prix très importantes, les rares acheteurs se trouvant dans une situation de force inédite. Seuls ceux qui auront des contreparties très solides pourront encore être suivis par les banques, ce sera très compliqué.
    Je pense que, pour ceux qui peuvent, l’idéal est d’emprunter un max de cash en euros (idéalement remboursable in-finé) et de placer la contrepartie dans des monnaies et actions fiables (moi j’ai choisi USD et actions Nasdaq)

Répondre à Ratel Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.