Petits calmes après de grandes turbulences

Les montants des agrégats monétaires varient peu d’une semaine à l’autre depuis le début mai : une dizaine de milliards de dollars seulement contre de grands sauts de 50 milliards auparavant,

Document 1 :

Les Américains semblent rassurés par la montée des indices boursiers : ils font peu varier les montants de leurs comptes bancaires (M1) et il en est de même pour leur épargne (M2-M1),

Document 2 :

Depuis le 1° août 2011, M2-M1 augmente d’une année sur l’autre sur une pente moyenne de l’ordre de 4,9 %

Document 3 :

… c’est-à-dire près d’un niveau générant une croissance optimale du PIB sans inflation (4,5 %),

Document 4 :

La croissance du PIB est donc près de son potentiel optimal, sans inflation, confirmant mes précédentes analyses,

Document 5 :

Tout est simple.

11 réflexions sur “Petits calmes après de grandes turbulences”

  1. 4 ans que j’essaie de faire rentrer dans la tête des européens une nouvelle technologie………………pschitttt………..ils sont imperméables……………..1 mois que j’essaie avec les amerlocs…………..boooom………….ils prennent……………vraiment des veaux ces européens comme disait De Gaulle.

  2. Le BILDERBERG (littéralement la monstrueuse facture ) est en réunion secrète 140 personnes à coté de London , dont miss Lagarde qui voulait lobotomiser chimiquement les adversaires de son think tank et qui comme Marie Antoinette à propos du pain et de la brioche , « ils ne peuvent payer l’essence qu’ils roulent à vélo »
    , on va bientôt la voir elle aussi décapitée , généralement méfions nous des femmes au pouvoir , elles sont pires que les hommes . Merkel , Tatcher , reines sanguinaires depuis les pharaons à nos jours.

  3. Samedi 8 juin 2013 :

    Alors parfois, François Hollande semble regretter les pesanteurs de la Commission européenne et envier le Japon. «Nous avons une situation différente. La France est dans la zone euro, solidaire de ses partenaires, agissant avec eux. Le Japon peut décider de sa politique monétaire en agissant seul», a-t-il expliqué.

    http://www.lefigaro.fr/international/2013/06/07/01003-20130607ARTFIG00598–tokyo-hollande-egratignela-commission-europeenne.php

    C’est bizarre, hein, François ?

    Le Japon a gardé précieusement sa monnaie nationale.

    C’est bizarre, hein, François ?

    En Asie, 17 nations n’ont pas voulu détruire leur monnaie nationale pour créer une monnaie unique.

    C’est bizarre, hein, François ?

    En Océanie, 17 nations n’ont pas voulu détruire leur monnaie nationale pour créer une monnaie unique.

    C’est bizarre, hein, François ?

    En Afrique, 17 nations n’ont pas voulu détruire leur monnaie nationale pour créer une monnaie unique.

    C’est bizarre, hein, François ?

    En Amérique, 17 nations n’ont pas voulu détruire leur monnaie nationale pour créer une monnaie unique.

    C’est bizarre, hein, François ?

    Et dans le monde arabe ?

    Comment ça se passe, aujourd’hui, dans le monde arabe ?

    Dans le monde arabe, 17 nations n’ont pas voulu détruire leur monnaie nationale pour créer une monnaie unique.

    Il n’y a que nous, en Europe, qui avons fait cette expérience de tarés.

    Et le résultat est un désastre.

  4. http://www.24hgold.com/francais/contributor.aspx?article=4403498850G10020
    Les 6 millions qui font vivre les 65 millions…!
    « Comment inciter les ménages à consommer, si la peur de l’impôt et du chômage prévaut ? Comment inciter les entrepreneurs à investir dans un marché intérieur à visibilité réduite, alors qu’ils sont en outre l’objet d’une fiscalité confiscatoire ? »
    …….
    « Vous obtenez un total de 6 millions de personnes productives et créant de la richesse pour faire vivre, financer, et nourrir 65 millions de personnes. »

  5. j’attends avec impatience que JPC nous parle de la DEXIA, issue de la fusion du CLF et du CCB. Je maintiens mes dires. Il y a en France un pb de formation des élites (Hec, Sciences Po, Ena = Hollande = 0, Polytechnique = Giscard = 0, Avocat = Mitterrand, Sarkozy = 0) et de recrutement dans les entreprises et de déroulement de carrière. Les gens valables sont cassés ou s’en vont. Après avoir détruit la classe ouvrière le système va détruire les bourgeois d’où la manifestation pour tous. Ils sentent que leur tour est venu. Mais qu’est devenu ce crétin que j’ai rencontré au comptoir des entrepreneurs. Qu’est devenu le CDE et le CF et le CL ? La CPR existe t elle toujours ?

  6. Vraiment la gestion monétaire et bancaire par nos politicards fait peur…Le calme en attendant la tempête…Bref cher monsieur Chevalier continuez à nous informer !!!!

  7. Lundi 10 juin 2013 :

    Grèce : le PIB en repli de 5,6 % à fin mars (deuxième estimation).

    Le PIB de la Grèce s’est replié de 5,6 % au premier trimestre 2013 sur un an, selon des données révisées publiées par le service des statistiques (Elstat). Les premières estimations faisaient état d’une baisse de 5,3 %.

    Au premier trimestre 2012, l’activité de la Grèce avait reculé de 6,7 %.

    Italie / PIB T1: recul plus fort qu’attendu (- 0,6%) (2e estimation).

    Le Produit intérieur brut de l’Italie a reculé de 0,6% au 1er trimestre 2013 par rapport au précédent, a indiqué lundi l’institut des statistiques Istat, qui corrige ainsi une première estimation faisant état d’un recul de 0,5%.

    Sur un an, le recul du PIB du 1er trimestre 2013 a également été revu en baisse, à – 2,4% (contre une estimation provisoire de – 2,3%), selon Istat.

    http://www.romandie.com/news/n/ItaliePIB_T1_recul_plus_fort_qu_attendu__06_2e_estimation38100620131139.asp

    Premier trimestre 2013 :

    Pourcentage de variation du PIB par rapport au même trimestre de l’année précédente :

    Allemagne : – 0,3 %.
    France : – 0,4 %.
    Belgique : – 0,5 %.
    Pays-Bas : – 1,3 %.
    Finlande : – 2 %.
    Espagne : – 2 %.
    Italie : – 2,4 %.
    Slovénie : – 3,3 %.
    Portugal : – 4 %.
    Chypre : – 4,1 %.
    Grèce : – 5,6 %.

    http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-05062013-BP/FR/2-05062013-BP-FR.PDF

  8. Mr Chevalier,

    Petite question à laquelle je n’ai pas la réponse:
    Comment peut on actuellement expliquer la hausse de nombreux taux à 10 ans d’oblig (us, allemagne et d’autres…) plus que sensible, et parallèlement une baisse des indices boursiers.
    Ou va l’argent? Ou, ou repart l’argent? Cela est il un signe de risque potentiel pour nos gos banques entrainant la dévalorisation des actifs?

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