Coronavirus : l’exemple de Taïwan

Taïwan avec 23,8 millions d’habitants n’a eu que… 5 décès à déplorer sur des personnes atteintes de ce coronavirus !

Taïwan, c’est un tiers de la France, trois fois la Suisse.

C’est le pays qui a le mieux réussi, et de loin, à protéger efficacement sa population de ce virus et sans confinement !

Comment ? Pourquoi ?

Les réponses sont simples, tout est simple, comme toujours…

Tous les ans, des virus se propagent dans l’hémisphère Nord en hiver. Personne ne sait comment ces épidémies naissent ni comment elles réussissent à prendre de l’ampleur ni pourquoi elles partent généralement de la Chine.

Ce sont souvent des virus de la grippe (influenza) et des coronavirus dont personne ne parlait dans les médias au cours des années précédentes.

Cette année, c’est ce Covid-19 qui domine les autres virus et il ne provoque pas plus de morts pour ce type de maladie transmissible que pour les années précédentes car la mortalité due à la grippe est moins importante que les années précédentes.

Comme ce coronavirus n’est pas d’origine de Taïwan, les autorités ont tout simplement contrôlé drastiquement et très efficacement toutes les personnes entrant à Taïwan depuis que l’épidémie a été connue, partant de la Chine toute proche (à 180 km).

Tout personne entrant sur le territoire de Taïwan devait et doit être testée (au coronavirus) et si elle est positive, elle est obligatoirement mise en quarantaine stricte tant qu’elle porte ce virus.

Et il en est de même pour toutes les personnes qui ont pu être en contact avec ces primo-infectés.

Dès lors, ce coronavirus n’a pas pu se propager dans la population qui a pu continuer à travailler normalement, sans être confinée, évidemment.

Simple et efficace !

Tout pays indépendant et souverain a un territoire, des frontières. Il lui appartient de les contrôler et de les défendre. C’est simple mais c’est quand même trop compliqué à comprendre pour des fonctionnaires et des hommes politiques occidentaux…

La décision d’interdire aux gens de travailler, sous prétexte de ce coronavirus, en obligeant les gens à rester confinés chez eux, est complètement folle.

Elle a des conséquences qui seront dramatiques.

Le confinement n’arrête pas la propagation du coronavirus comme le montre clairement ce qui se passe en Espagne, en Italie et en France.

Pour rappel, pendant le confinement, la production, c’est-à-dire la création de richesse s’effondre et en même temps, comme dirait l’Autre, les autorités publiques distribuent de l’argent… qui n’existe pas !

C’est de la création monétaire indue, ex nihilo qui est toujours létale.

La zone euro est la plus touchée, pour toujours.

© Chevallier.biz

 

4 réflexions sur “Coronavirus : l’exemple de Taïwan”

  1. En France notamment, nous avons une « bulle de réalisation sociale », c’est à dire un ensemble de gens qui se pensent important et qui ne sont rien. Ces derniers ont pris des décisions qui vont avoir pour conséquence une réduction drastique de l’activité des gens (à savoir le privé) qui triment pour eux.

    Parait que, selon le neurologue PJ Thomas Lamotte que pour les imprévus, les conséquences sont six mois après…

    Extrait de ce que par ailleurs j’ai publié :
    Le point de réalisation, c’est là quand tout bascule. Ainsi par exemple lorsque tu rentre à l’ENA ou encore lorsque tu deviens fonctionnaire. Ta vie deviens absolument étatiquement assurée quoiqu’il advienne, la chute de l’Etat n’étant pas alors de l’ordre de l’imaginable.

    Mais en fait, c’est une position artificielle. Ces gens là sont généralement sur-fait socialement, appartiennent à une bulle de réalisation sociale. Ils sont comme l’eau juste au-dessus de la limite du vase remplie à ras-bord, maintenu comme en suspension. Et il suffit d’une goutte de trop, la fameuse goutte qui fait déborder le vase, pour que tout s’écroule, pour que ce supplément d’eau se retrouve par terre, en dehors du vase. Cela arriveras-t-il un jour à nos fonctionnaires ? Qui peut imaginer la faillite de l’Etat français qui porte à son sommet tous ces sur-fait ? Une simple prof d’éducation physique ne dit plus « Je suis prof d’éducation physique » mais bien « Je travaille pour l’éducation nationale ! » Mazette, c’est autre chose que d’enseigner dans le petit buis-buis local !

  2. Les solutions apportées par Taïwan étaient évidemment bonnes mais il fallait reconnaître le rôle des frontières et ça les mondialistes sans frontières n’y étaient pas prêts et de surcroît Taiwan à deux avantages incroyables : être une île et savoir à quoi s’en tenir par rapport à ses voisins chinois, la lucidité est un atout en toutes circonstances.

    Avant le confinement c’est l’idéologie sans frontièriste plus la naïveté du romantisme des routes de la soie, la cupidité que le vaste marché chinois exacerbée et enfin une haine pathologique pour les États-Unis, qui sont responsables, le manque d’anticipation vient ensuite et donc la résultat avec le confinement terrible de conséquences mais la chaîne de responsabilités est bien antérieure.

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